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Crise économique 2020 – 2021 : tout savoir sur la crise à venir !

avril 28, 2020 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

crise-economiqueDe plus en plus de voix s’élèvent parmi les économistes pour alerter de l’imminence d’une nouvelle crise économique.

Sans commune mesure avec celui de 2008, ce véritable raz-de-marée risque d’avoir des conséquences plus funestes.

Pour comprendre la menace qui se profile et vous préparer au mieux, voici tout ce que vous devez savoir sur la crise financière prévue pour 2020 et 2021 !

D’où viendra la crise économique qui s’annonce ?

Plus de 10 ans après la crise de 2008, il est légitime de se demander d’où vient le tsunami financier qui se prépare selon certains. Voici les principales causes de la crise qui pourrait nous frapper avant la fin de l’année.

Des États au surendettement critique

Le premier ferment de la crise financière à venir est la dette faramineuse de très nombreux États. Depuis près d’une décennie, les banques centrales leur prêtent des fonds à des taux d’intérêts extrêmement faibles. Les dirigeants ne se sont donc pas gênés pour y avoir recours, surtout depuis la crise du coronavirus qui a dévasté de très nombreux pays.

L’effet pervers de ce système est que la dette est entrée dans la norme. Les pays s’endettent davantage chaque année pour financer leurs dépenses sans songer à réduire leurs coûts de fonctionnement. Si bien que le déficit de la France, et d’autres grandes nations comme les États-Unis, atteint un niveau abyssal.

Pour corser encore plus les choses, la possibilité pour eux de se refinancer par la création monétaire a été fortement limitée par les différentes autorités de régulation. Le marché de la dette publique se trouve donc dans une situation comparable à la crise des subprimes de 2008, à la différence près que celle-ci concernait l’endettement des ménages.

Dans l’hypothèse où les acteurs qui détiennent les titres de créance des États perçoivent le risque et décident de les vendre en masse, c’est tout le système financier qui serait impacté par un tsunami d’une ampleur sans précédent.

Une dette qui pèse lourd sur les ménages et les entreprises

Les États ne sont pas les seuls à accumuler les dettes. Les entreprises et les particuliers sont loin d’être en reste dans les pays développés et industrialisés. Des crédits accordés d’autant plus facilement qu’ils sont très rentables pour les banques qui les revendent sous forme de produits financiers.

De nombreux investisseurs utilisent également le levier du crédit pour acheter des actifs financiers dans le but de s’enrichir. Un système qui a bien fonctionné jusqu’à aujourd’hui, mais risque d’être mis à mal par la baisse d’activité dans l’économie réelle.

En effet, si une perte de revenus les conduit à devoir vendre en masse pour solder leur dette, cela peut conduire à l’effondrement pur et simple des marchés. Ce scénario concerne tout particulièrement les détendeurs d’actions et autres produits financiers.

Les entreprises, quant à elles, sont fragilisées par leur endettement qui les abaisse leur niveau de résilience en cas de problème. Une baisse de la consommation pourrait être l’étincelle capable de mettre le feu aux poudres, les plaçant dans l’incapacité de rembourser.

Encore une fois, la pandémie covid-19 et le coronavirus ont été des amplificateurs de la dette actuelle.

La finance : des dérives toujours incontrôlables

Malgré les grandes déclarations et les bonnes intentions qui ont suivi le désastre économique de 2008, le secteur de la finance ne semble pas avoir tiré les leçons de ses erreurs. La titrisation d’emprunts toxiques, car accordés à des ménages précaires, et disséminés sur les différents marchés est redevenu une pratique courante.

Avec l’arrivée de l’Internet à très haut débit et du trading à haute fréquence, la course au profit à tout prix reprend de plus belle. Le plus souvent, elle se fait au mépris total des conséquences que ces jeux de chiffres sur un écran peuvent avoir dans l’économie réelle dont le milieu est totalement déconnecté.

Malgré les nombreuses alertes et les protestations, rien ne semble pouvoir arrêter ce cercle infernal. Aucune autorité de contrôle capable d’avoir un réel pouvoir ne permet de réguler ce qui se passe sur les marchés financiers.

Face à cette absence totale de cadre, il semble bien difficile d’imaginer que ceux qui tirent profit du système décident d’eux-mêmes de moraliser leurs pratiques. Aveuglés par leur soif de rentabilité à court terme, ils continueront à entretenir le système jusqu’à ce qu’un séisme économique vienne siffler la fin de la récréation.

Des tensions internationales de plus en plus vives

Au niveau mondial, les relations se tendent entre les grandes puissances, notamment entre l’Amérique de Donald Trump et le géant Chinois. Les deux pays se livrent une guerre commerciale sans merci à base de sanctions financière d’un côté et de dévaluation volontaire pour rester compétitif de l’autre.

Une bataille qui est loin d’être sans conséquence sur les marchés financiers. Les manœuvres de la Maison Blanche qui semble vouloir se lancer dans une course à la dépréciation et la décision de la Chine de ne plus acheter de produits agricoles américains ont conduits à une chute de leurs Bourses respectives.

Compte tenu de l’internationalisation des échanges, cette situation est loin de n’impacter que les pays concernés. Autre sujet de tension : les relations entre les pays du Nord et ceux du Sud. Les seconds acceptent de plus en plus mal ce qu’ils considèrent être la captation de leurs ressources financières par les premiers.

Ce qui pourrait changer

Deux scénarios s’affrontent sur les conséquences possibles d’une crise financière en 2020 et 2021. Le premier, largement relayé sur la toile, est l’objet de tous les fantasmes et de toutes les craintes. Le second est plus insidieux, car moins spectaculaire, mais tout aussi préoccupant.

Le scénario catastrophe

Il s’agit de la thèse préférée des survivalistes. Un scénario digne d’un film comme Le jour d’après ou Hunger Games.

Dans cette version de l’histoire, le tsunami financier est si violent qu’il ravage tout sur son passage. Les banques font faillite les unes après les autres. Les gouvernements ne parviennent pas à les maintenir à flots. Les épargnants se bâtent devant les distributeurs pour espérer sauver une partie de leurs deniers, pendant que d’autres se ruent dans les supermarchés.

Petit à petit, la société s’effondre. Les rayons des magasins sont vides. Les moyens de paiement traditionnels n’ont plus cours. Les hôpitaux ferment leurs portes, suivis par les casernes de pompiers et les commissariats. La fourniture d’électricité et d’eau potable est interrompue.

Au bout de quelques jours, les premières exactions commencent. Le peuple affamé se rue dans les commerces désaffectés, saccageant tout sur son passage. Les maisons des supposés riches sont pillées. Dans les rues ravagées, des femmes troquent leurs charmes contre un peu de nourriture pour survivre. La ville n’est plus qu’une immense jungle où règne la loi du plus fort.

Si ce tableau a de quoi donner des cauchemars, il est peu probable qu’il se concrétise. Même les pays européens les plus durement touchés par la crise de 2008 ont réussi à éviter la catastrophe. Il est donc inutile de remplir vos placards de boîte de conserve ou d’investir dans un fusil de chasse.

Le scénario le plus probable

L’autre possibilité ne ressemble pas à un scénario de crise vue de loin. Les banques sont toujours là. Les pompiers et les hôpitaux aussi. Les enfants continuent de se rendre à l’école chaque matin et les rayons des supermarchés sont toujours bien garnis.

Mais, en y regardant de plus près, les choses ne sont pas tout à fait comme avant. Pour tenter de redresser la barre, les États ont entamé une politique d’austérité sans précédent.

Les aides sociales ont disparu, ou se réduisent à peau de chagrin. Tous les services publics comme l’école, les hôpitaux ou les transports ont été entièrement privatisés et sont donc devenus hors de prix.

La fermeture de nombreuses entreprises a entraîné un chômage de masse et une explosion de la population précaire. Les allocations chômage sont presque inexistantes. Se loger devient de plus en plus compliqué et des familles entières se retrouvent à la rue faute de pouvoir payer leur emprunt ou leur loyer.

Cette situation ressemble à ce qu’ont connu des pays comme l’Espagne ou la Grèce lors du krak de 2008. Il n’est pas improbable qu’un pays comme la France puisse s’y retrouver confronté.
Quelques conseils pour se préparer

Qui dit crise financière dit préparation pour éviter le pire. Les recommandations ci-dessous sont avant tout des conseils de bon sens validés par des professionnels de la finance. Elles n’expriment qu’un avis et ne sauraient avoir valeur de prescription.

Faut-il continuer d’investir en Bourse ?

Étant donné que la finance portera une grande part de la responsabilité du séisme économique qui s’annonce, il est légitime de se demander s’il faut continuer d’acheter des actions.

Compte tenu de la conjoncture actuelle, il est plus sage d’appliquer le principe de précaution en vous abstenant d’acheter de nouveaux titres. D’autant que les prix sont artificiellement élevés.

N’allez pas pour autant en déduire qu’il faut vendre toutes les actions que vous possédez. Si vos titres ont pris de la valeur, conservez quelques valeurs sûres et empochez votre bénéfice en vendant les autres.

Crise financière et investissement immobilier

La question de l’investissement immobilier en temps de crise est la seconde question qui préoccupe ceux qui souhaitent placer leur épargne. S’il est peu probable que la pierre connaisse une crise majeure, ce n’est pas le meilleur moment pour vous lancer dans un achat, surtout si vous comptez le réaliser à crédit.

Comme nous l’avons expliqué plus haut, le système bancaire est plus fragile que jamais. Souscrire un emprunt immobilier représente un risque qu’il n’est pas prudent de courir dans cette période d’incertitude. Si vous projetez de vendre un bien, au contraire, ne tardez pas.

Faut-il acheter de l’or ?

L’or est une valeur refuge en cas de crise. Nombreux sont ceux qui sont tentés de sécuriser leur argent en achetant le précieux métal, espérant profiter d’une hausse de son cours au passage.

Acheter un peu d’or peut être une bonne idée, mais gardez-vous d’y placer toute votre épargne. Souvenez-vous que les métaux précieux sont taxés à la vente comme à l’achat, et qu’ils sont peu liquides. Il n’est pas recommandé de posséder plus de 10 % de votre capital sous cette forme.

Pour jouer la sécurité, préférez plutôt le cash qui reste la seule valeur sûre. Avoir 30 %, au moins, de vos avoirs immédiatement disponibles sous cette forme est une preuve de bon sens. Si vous avez des comptes à terme qui arrivent à échéance dans 1 an, ou moins, conservez-les et récupérez votre mise ensuite. Si cette stratégie ne vous fait pas gagner d’argent, elle vous évite au moins d’en perdre.

Amortir les conséquences du séisme au quotidien

Si elle survient, la crise qui s’annonce n’aura pas des conséquences que sur votre épargne. Pour minimiser son impact sur votre quotidien, voici quelques conseil utiles.

Tâchez de solder vos emprunts si vous avez contracté des crédits, en particulier ceux à la consommation. Faites en sorte de réduire votre train de vie afin de pouvoir épargner davantage. Si votre état de santé nécessite des soins, faites-les sans attendre.

Spécialisez-vous dans votre domaine professionnel. Faites en sorte d’acquérir des compétences recherchées qui pourront faire la différence. En cas de réduction d’effectif dans votre entreprise, vous avez plus de chance de garder votre poste, ou de pouvoir évoluer. Pensez aussi à envisager des sources de revenus alternatives qui vous aideront à vous retourner en cas de chômage. Les opportunités sont nombreuses si vous savez faire preuve d’ingéniosité.

D’après de nombreux experts du monde de la finance, tous les signaux qui annoncent une crise économique de grande ampleur sont à l’orange vif. En cause, le recours abusif à l’emprunt, les dérives des marchés financiers, mais aussi les tensions internationales. Ce tsunami pourrait bien être d’une violence supérieure à celui de 2008, avec pour conséquence une faillite des États et appauvrissement général de la population.

Toutefois, il est bon de rappeler que rien ne permet d’être absolument certain que ce désastre économique aura bien lieu. L’heure n’est donc pas à la panique, mais simplement à la prudence. Fiez-vous à des conseils relevant du bon sens et gardez la tête froide.

Catégorie(s) : Bourse Étiqueté : crise économique, crise économique 2020, crise économique 2021, crise économique coronavirus, dépression économique, récession économique

En savoir plus sur la négociation des CFD

février 17, 2020 par swealth Laisser un commentaire

Pour certains, le trading permet de gagner beaucoup d’argent, rarement. Pour d’autres, il s’agit effectivement une solution très rapide et efficace, mais pour perdre toutes ses économies. Qui faut-il croire, qui doit-on écouter : les optimistes ou les pessimistes ?

Les deux sans doute, car s’il est possible de gagner, il l’est tout autant de perdre. Grâce au CFD — Contract for difference —, on peut réaliser de jolies plus-values, sans mise de fonds importante. Mais cet outil ne supprime pas les risques pour autant et son utilisation n’est assurément pas le plus sûr moyen de réaliser des économies. Car si un CFD amplifie les gains potentiels, il peut aussi démultiplier les pertes…

L’art de parier sur une évolution, une tendance

Comme son nom l’indique, un contrat de différence porte sur une différence, en l’occurrence celle qui existe entre la valeur d’un actif, d’une action par exemple, lorsqu’un contrat est conclu, et cette même valeur lors de la clôture du contrat. Généralement, les deux opérations ont lieu au cours de la même journée. Il s’agit de parier, à la hausse — prise de position longue — comme à la baisse — position courte — sur l’évolution du prix de cet actif. Puisqu’il s’agit d’un pari, il peut être gagnant, mais il peut aussi être perdant. Si l’on estime que l’actif va monter et qu’il baisse, c’est perdu. Idem si l’on pense qu’il va baisser et qu’il monte. Si en revanche l’évolution du prix est conforme au pari, c’est gagné. Il ne s’agit donc pas d’acheter un actif, mais de miser sur l’évolution de son prix. Un CFD est à ce titre ce que l’on appelle un produit dérivé. Mais ce n’est pas sa seule caractéristique et il est conseillé de parfaitement comprendre le mécanisme des contrats de différence avant de sa lancer. S’entraîner quelque temps et sans risque à « manipuler » les CFD est même, certainement, une bonne idée.

Avantages et inconvénients de l’effet de levier

En effet, un contrat de différence est également un produit avec effet de levier. Cela signifie que les gains potentiels sont beaucoup plus élevés que le montant de l’investissement initial. Mais attention : les pertes aussi. Les CFD ont un effet amplificateur grâce auquel les gains réalisés peuvent être très importants. Ainsi, un investissement en CFD ne représente qu’une petite partie — appelée taux de couverture — de la valeur de l’actif. Cela permet de prendre des positions en investissant peu par rapport à la valeur réelle d’un actif. En revanche, le gain — ou la perte — sera calculé sur la valeur réelle dudit actif. Ainsi, si cette valeur est de 1 000 et qu’elle augmente de 5 %, elle vaudra 1050. Un investisseur qui a parié 100 à la hausse ne gagnera pas 5 % de ces 100 investis, mais 5 % de la valeur de l’actif, donc de 1 000. Et s’il a parié à la baisse — position courte donc… —, les pertes seront là aussi calculées selon la valeur de l’actif.

Les CFD peuvent porter sur les marchés actions, sur les matières premières, le forex — marché des changes — et même sur les crypto-monnaies.

Quel que soit le marché, le recours aux CFD demande une réelle expertise ainsi qu’une excellente connaissance et compréhension des marchés. Les amateurs ont en revanche tout intérêt à s’abstenir !

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Où placer 1000 euros ? Quelques idées d'investissements…

août 6, 2018 par swealth Laisser un commentaire

ou placer 1000 eurosDe nos jours, beaucoup de personnes se demandent où placer 1000 euros pour le faire fructifier de manière profitable.
En effet, un bon pourcentage de la population est enclin à économiser cette somme et il est sage de penser à l’investir plutôt que de les dépenser dans des biens matériels qui lassent vite.
Le but est de préparer d’ores et déjà des projets d’avenir, d’avoir quelque chose sous la main pour les imprévus, ou de viser une plus grande qualité de vie.
Il existe de nombreux moyens d’y parvenir, selon les budgets de chacun, et son profil type.
Évidemment, tout le monde n’est pas pareil : certains vont privilégier les investissements qui génèrent des résultats à court terme, d’autres préféreront le contraire. Les uns peuvent avoir envie de se constituer du cash, d’autres un patrimoine.
Aussi, les choix vont dépendre du goût au risque et des caractères de tout un chacun.
Si vous voulez devenir riche, sachez que ce ne sera pas pour aujourd’hui, surtout si vous investissez une petite somme.
En effet, 1000 euros n’est pas encore beaucoup pour vous permettre l’accès à tous les types d’investissement. Pourtant, vous pourrez, avec de la persévérance, le faire fructifier doucement, mais sûrement, une fois que vous lui aurez trouvé un bon filon. Retrouvez dans cet article quelques-uns de vos possibilités.

Le livret A et l’assurance-vie

Le livret A est souvent ce qui vient la première fois à l’esprit dès qu’on parle de placement d’argent. Ce placement rapporte peu, mais on le préfère à d’autres pour la sécurité de l’argent, avec un taux de 0,75 % environ.
C’est effectivement la meilleure solution pour ceux qui ne sont pas prêts de risquer leur argent. Si vous voulez pourtant faire des bénéfices plus intéressants, mieux vaut explorer d’autres secteurs. Le taux ne cesse d’ailleurs de descendre. L’assurance-vie est plus stable et les fonds qui lui servent de multi supports le rendent plus attractifs.

La bourse

La bourse est une option d’investissement attractive, qui nécessite néanmoins de vastes connaissances et exige un certain dynamisme, car le rouage est complexe et en perpétuel mouvement. Le risque est toutefois considérable à cause de ces changements qui peuvent survenir à tout instant.
Les principales clés d’un investissement dans la bourse, c’est la diversification du portefeuille et un travail à temps plein. Il faut surveiller sans arrêt la situation des entreprises dans lesquelles vous avez misé, le marché en général, ainsi que toutes les informations économiques et financières des pays où se trouvent ces sociétés.
Même si vous faites appel à un coursier commissionnaire qui vous fera des suggestions, vous serez toujours le maître de vos décisions, c’est pourquoi il est essentiel de se mettre au parfum de la situation.
N’oubliez pas qu’il y a également d’un côté les frais de courtage prélevés par les banques. En bourse, il est également possible de faire du copy trading sur des grands qui semblent réussir dans ses choix. De nombreuses plateformes en ligne vous permettent de faire la copie en quelques clics. Vos chances vont sensiblement augmenter sans pour autant réduire de manière considérable les risques. Quand il est question de plateforme, il faut toujours faire des comparaisons et des analyses afin d’éviter les arnaqueurs. Toutefois, mieux vaudra toujours décider seul de son argent pour ne rien regretter.
Il existe plusieurs types de marchés, soit autant de produits accessibles à partir de ce budget dans la bourse, dont le Forex, les parts d’ OPCVM (Organisme de Placement Collection de Valeurs Mobilières), le SRD, les turbots, les warrants, les options binaires, les titres de sociétés ou encore les obligations. Chacun de ces produits a ses propres avantages et inconvénients, leur point comme étant les risques. Leurs degrés sont toutefois relatifs aux produits.
Une obligation ne peut notamment vous entraîner de perte si vous le conservez depuis son émission à la fermeture. Les risques ont lieu si on la revend avant cette échéance, relativement au cours de la devise concernée sur le marché. Et évidemment, vous perdez les intérêts courants.
C’est là qu’intervient la diversification des placements, afin de pallier les pertes dans certains produits avec les gains obtenus grâce aux autres. Tout ce qui est action est volatile, notamment les types warrants. Le risque augmente dans ces cas. Quel que soit le cas, n’investissez en bourse que l’argent dont vous n’aurez pas besoin dans l’immédiat. Il faut également faire attention à l’effet de levier qui peut également être fatal à votre investissement.
Il est vivement conseillé de commencer par s’entraîner avec un portefeuille virtuel, car les risques dans ce domaine ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus que les pertes sont irréversibles. Placer 1000 euros en bourse sans avoir aucune connaissance, c’est un peu comme jouer au poker dans un casino.
On peut décider à tout moment de vendre ou d’acheter des titres, ou encore d’ouvrir ou de clôturer une position. Certains paramètres peuvent également rester imprévisibles, spéculer c’est tout ce qu’on peut faire.
Quoi qu’il en soit, ce type de placement fait partie de ceux qui permettent de disposer à tout moment des liquidités disponibles, contrairement à d’autres investissements qui exigent un délai. Avec 1000 euros à placer, vous pouvez embarquer, mais à condition de travailler durement pour espérer que l’argent ne parte pas rapidement en fumée, surtout que vous ne pourrez pas encore diversifier votre portefeuille.
Les PEA (Plan d’Épargne en Actions) sont aussi des placements, qui profitent des avantages de la bourse. Mais en plus, les dividendes et les plus-values sont exonérés d’impôts 5 ans de suite. Sur le long terme, vous pourrez vous faire des profits concluants avec les 1000 € de départ.

L’immobilier

Le financement participatif est ouvert à tous en immobilier. C’est pourquoi ce domaine est accessible dès 100 euros grâce notamment aux OPCI. Avec 1000 euros, vous pouvez déjà prendre de plus grandes parts dans ce secteur ou envisager de participer à une SCPI. Cette dernière est plutôt difficile à trouver avec ce montant, mais cela ne veut pas dire que c’est impossible. Une SCPI peut pourtant vous donner jusqu’à 6 % de rendement dans le meilleur des cas. Et le minimum ne va jamais plus bas que les 3 %.
Pour une OPCI, ce rendement est légèrement inférieur, avoisinant les 2,5 %. Dans les deux cas, vous pouvez choisir de souscrire à une assurance-vie pour intégrer le collectif.
Les avantages d’une OPCI, par contre, c’est qu’il y a plus de liquidités disponibles, de l’ordre de 10 %, et que les risques de l’investissement sont mutualisés. Seulement une partie du capital va dans l’immobilier, entre 60 à 90 %. Le reste va dans des valeurs mobilières, par exemple dans des actions.
Ainsi, vous pouvez commencer dans la pierre papier sans vous endetter, car vous n’aurez pas besoin de faire un emprunt. C’est rendu possible à cause la difficulté des promoteurs à obtenir de la banque les fonds nécessaires. Il existe plusieurs autres types de financement de la pierre par les particuliers, vous permettant toujours de commencer avec cette somme-là.
Il s’agit souvent de financer un grand projet immobilier, consistant à l’achat de terrain, suivi de construction d’appartements qui seront à vendre. L’argent résultant va permettre au prometteur de vous rembourser et de faire des bénéfices. Là aussi, il y a un risque d’échec. Pourtant, dans la majeure partie des cas, vous récupérez la totalité de votre argent, sauf si les dépenses n’ont pas été maîtrisées puisque tout ne se passe pas comme prévu sur le chantier, ou après, pendant la vente.
Les problèmes qui peuvent arriver sont les retards dans les travaux, les malfaçons et autres vis, les appartements qui ne se vendent pas. Cela entraînera toujours des coûts supplémentaires. Dans ce dernier cas, ce sera la faillite assurée et vous pouvez alors dire adieu à votre fonds d’investissement. Autrement, vous regagnerez votre capital et en tirerez un intérêt à percevoir si le projet voit le jour. Cet intérêt avoisine les 8% à 10% et le délai tourne autour de 3 ans. Il s’agit donc d’un investissement à moyen terme.
Vos 1000 € conviendront alors très bien pour un début dans le secteur. Quoi qu’il en soit, ne prenez pas les offres de quelconques promoteurs, orientez-vous vers les plus aguerris. Étudiez bien leurs offres pour voir si les produits finaux seront vraiment intéressants, autant pour garantir sa solvabilité.

Démarrer son entreprise

Avec 1000 euros, on peut déjà lancer soi-même sa petite affaire. Les chemins à prendre dépendent de l’ambition et des visions de chacun. Sur internet, particulièrement, vous avez déjà de nombreuses possibilités autour des ventes en ligne.
Avec ces 1000 euros, vous pourrez notamment créer votre boutique en ligne pour vendre vos produits, quels qu’ils soient, sinon pour revendre ceux d’un autre fournisseur. Vous avez la possibilité de collaborer avec lui par un drop-shipping. Ce concept récent et avantageux vous permet de ne pas avoir à gérer ni stock ni livraison, vous vous contenterez de vendre et de percevoir des commissions sur cette dernière.
Si vous avez une passion qui vous enthousiasme particulièrement, vous pourrez sûrement l’exploiter de manière lucrative. Avec ces 1000 euros, vous ferez mieux d’acheter le matériel nécessaire à son exercice. Pour vendre ensuite vos œuvres, vous avez internet. C’est le moyen le plus rapide de nos jours et où l’on est plus libre. Créez-vous un site web pour présenter vos produits, ou pourquoi pas votre boutique en ligne avec le reste de l’argent. Un coup de pouce sur les réseaux sociaux et votre business va démarrer pour de bon.
Vous pouvez également vous en sortir en optant pour une franchise. Dans certains cas, aucun apport n’est exigé. À vous alors de faire votre choix puisqu’il en existe des centaines et des milliers de propositions, concernant presque tous les secteurs, notamment l’agroalimentaire et les entreprises de service.
Si le goût de l’entrepreneuriat est vraiment en vous, n’hésitez pas à chercher des idées qui pourront être révolutionnaires dans notre industrie de consommation. Le secret c’est d’arriver à créer de nouveaux besoins.

Financer une petite structure

Les petites entreprises se servent aujourd’hui d’internet pour trouver des financeurs, notamment les sites de crowdfunding. Si vous avez 1000 € en poche, vous avez déjà de quoi accompagner une start-up, dont l’idée et les principes vous ont convaincu, dans son développement.
Là aussi, vous prenez un grand risque. Vous devez tout de même vous assurer que le site est fiable, et que même si votre argent ne vous est pas rendu, il va atterrir précisément là où il était destiné. Mais si les choses tournent bien, le rendement peut être très attractif, de l’ordre de 5 % à 8 %.
Les start-ups touchent aujourd’hui encore de nombreux domaines, à savoir la santé, la technologie ou encore l’alimentation. À vous de décider du projet qui vous parait à la fois novateur et porteur, dans lequel vous pensez pouvoir placer votre confiance.

Investir dans les monnaies cryptées

La monnaie cryptée qu’on appelle Bitcoin a vu le jour en 2009. Elle s’achète avec de l’argent réel. En ayant investi 1000 euros à ce moment-là, vous en aurez déjà obtenu beaucoup aujourd’hui, largement plus que le double. Avec les petits travaux en ligne, vous pouvez également vous faire payer de cette façon.
Les premiers qui ont cru à cette nouveauté ont été les gagnants des gros lots, car ils ont pu multiplier rapidement leur capital de départ sans avoir à faire un travail. Les cours de ces monnaies virtuelles oscillent également, tout comme dans la réalité, ce qui pourrait augmenter ou au contraire diminuer leur valeur.
Aujourd’hui, il y a aussi l’Ethereum. Il se trouve à la seconde place des cryptomonnaies. Alors que l’idée a germé dans la tête du Russo-Canadien Vitalik Buterin à seulement 19 ans, cette nouvelle monnaie a été propulsée à sa notoriété actuelle vers le mois de mars 2017. Son principal avantage reste sa capacité à assurer des contrats intelligents en Turing-Complet. Plusieurs applications sont déjà basées sur l’Ethereum, tournant sur des EVM (Ethereum Virtual Machine) sur un même réseau.
Il s’agit plus précisément d’une banque décentralisée où tout est désormais automatique. La spéculation sur les cryptomonnaies a fait des heureux. Depuis le temps, ils ont pu s’acheter des voitures, des appartements, ou ont pu garder leurs millions alors qu’au début, par précaution, la plupart n’ont investi que très peu. La montée reste prometteuse quoique le risque reste présent. Vos 1000 € peuvent encore se multiplier si la chance est de votre côté.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : où placer 1000 euro

Comment investir 20 000 euros ou 30 000 euros ?

juillet 16, 2018 par swealth Laisser un commentaire

investir-20000-30000-eurosComment investir 20 000 euros ou 30 000 euros de manière optimale ?
En effet, aujourd’hui s’offre à vous un large éventail d’investissements prometteurs, les uns plus risqués que d’autres, plus rentables que d’autres.
Il est fort compréhensible que ce ne soit pas facile de choisir dans quel investissement livrer son argent.
Cet article est pour vous guider pas à pas dans le choix du placement ou de l’investissement selon votre profil et vos attentes.
Si vous avez en main cette somme de 20 000 euros ou 30 000 euros suite à des efforts d’économie, elle est encore plus précieuse pour disparaître à nouveau.
Pourtant, le 0 n’existe pas, amortir les risques c’est tout ce qu’il y a à faire.
Déjà avec cet argent, vous avez accès à la diversification, c’est-à-dire que vous pourrez diviser votre fonds en 2 ou 3 et l’investir dans des supports différents.

Les placements bancaires

Les livrets d’épargne

D’abord, il y a les livrets d’épargne comme le livret A, le LEP, le PEL, le LDD, etc. Dans la même visée, il y a le compte à terme. Ces placements sont parmi les plus sûrs, mais aussi les moins rentables si l’on en juge par le taux du livret A qui ne cesse de descendre, alors qu’avant, il était intéressant pour quelqu’un de très peu disponible et qui n’a pas hâte de récupérer son argent et ses intérêts. Le taux de ce dernier n’atteint plus aujourd’hui les 1%, puisque l’État l’a fixé à 0,75%. Il a été mentionné peu disponible parce que la plupart des investissements nécessitent qu’on investisse également un peu de son temps. Mais l’argent, lui, reste disponible à tout moment pour vous, afin que vous y ajoutiez du fonds ou en retiriez.
Aussi, les intérêts sont plus attractifs sur le long terme, c’est pourquoi ce placement convient mieux à ceux qui le réservent à un projet pour plus tard comme la retraite. Il faut compter des années avant que les résultats ne soient vraiment profitables. Aucune durée de placement n’est exigée, c’est à vous de voir. 8 ans est la durée minimum conseillée.

Une assurance vie multi support

Souscrire à une assurance vie serait plus attractif, en optant alors pour le type euro dynamique. Le taux est à la hausse depuis quelque temps malgré une descente globale affichée d’année en année. L’autre type, fonds en unité de compte, comprend davantage de risques qu’on ne vous le conseille pas.
Vous pouvez notamment faire un contrat et acheter une part dans l’immobilier ou une part d’actions avec cette assurance-vie multi support, et profiter alors du dynamisme du marché financier, tout en risquant moins que ceux qui y investissent directement. L’intérêt vient dans le premier cas du patrimoine qui vous revient une fois le contrat terminé, et également au rendement que vous percevrez régulièrement si le projet marche bien. Il faut compter au moins 2,3% de rendement, mais il ne faut pas oublier que les contrats ont leurs risques.
Une assurance-vie est un investissement à plusieurs avantages : pas de minimum requis, l’argent revient à la famille en cas de décès, taux prenant, fiscalité avantageuse. 20 000 euros ou 30 000 euros convient parfaitement.

Les OPCVM (Offre de Placement Collectif de Valeurs Mobilières)

Les OPCVM, avec ses deux déclinaisons SICAV et FCP (Fonds Communs de Placement), constituent aussi deux options pour les personnes qui ne veulent pas s’éloigner de la sécurité du système bancaire. Les participations peuvent consister en partie d’actions et d’un autre côté un placement immobilier si vous le souhaitez. Dans ce cas, il a été décidé qu’il vous restera toujours à disposition 10% de liquidités. Le financement participatif reste un investissement peu risqué, mais procurant divers avantages, en commençants par les intérêts. D’ailleurs, si les projets financés se portent bien, il est possible de gagner beaucoup plus.

L’immobilier

Ce secteur est décrit comme le plus stable entre toutes même si quelques fois, elle fait également face à des crises. Mais c’est toujours plus ou moins prévisible, ce qui vous donne le temps d’atténuer les pertes. Cette stabilité est un grand avantage, mais il ne faut se fier qu’à cela. Il savoir choisir dans quelle branche de l’immobilier :
–          Financement participatif, à l’exemple du SCPI (Société Civile de Placement Immobilier)
–          Investissement dans l’ancien
–          Programme neuf
–          Achat de parkings, box ou garages
Les différents locaux ont également chacun leur rentabilité, en fonction de leur situation géographique et de nombreux autres paramètres : commerces, appartements, résidence pour touriste ou étudiants, etc. Tout dépend de l’adaptabilité de leur usage dans le lieu où ils sont implantés. Un local commercial ne va pas attirer les clients s’il se trouve dans un lieu peu fréquenté, tout comme un appartement doit se trouver plus au calme et idéalement près de commodités. Pour les parkings, la sécurité et la visibilité sont primordiales.
Il faut faire particulièrement attention sur le calcul du coût des rénovations pour un achat dans l’ancien, car l’écart pourrait agir négativement sur le rendement. Pour ce qui est du neuf, si vous achetez en VEFA (Vente en État de Futur Achèvement), le risque serait que le prometteur fasse faillite à cause de retards de travaux ou de dépenses mal calculées. C’est pourquoi il serait plus prudent de se tourner vers un promoteur fiable, qui a déjà fait ses preuves.
Les SCPI sont aussi à risque pour des raisons similaires : un coût de construction déraisonné, une longue période de vacance de locataires ou un problème de paiement des loyers par ces derniers. La première approche serait également de bien choisir la société. Néanmoins, si le projet réussit, le rendement peut atteindre les 7% à 10%. Vous percevez régulièrement des dividendes sans avoir à gérer la location ou quoi que ce soit, cette tâche étant léguée à une société de gestion. Sinon, faites des recherches sur le fonctionnement du crowfunding immobilier si vous voulez faire davantage de fructification avec moins de risques.
Un autre grand atout du secteur, c’est l’ouverture d’un grand nombre de banques au crédit immobilier. De nombreux dossiers ont été accordés, dont beaucoup y demandent un crédit immobilier pour profiter de l’effet de levier immobilier. Dans un marché qui bat son plein, ce système est parfaitement adapté pour un enrichissement rapide. Mais le revers est de la même envergure, c’est-à-dire les risques de perte en cas de dysfonctionnement du projet. Il est primordial de bien évaluer les risques avant d’embarquer. Autrement, cela signifie que vous êtes prêt à acheter votre billet d’entrée à l’endettement.

La bourse

La bourse, il faut le savoir, est un marché rentable, mais avec des risques tout aussi considérables. En moyenne, si vous êtes actif, vous pouvez espérer dépasser les 8% de rendement annuel, car ce n’est que la moyenne. Devenir un trader de compte propre exige de vous la possession d’un certain montant que vous êtes prêt à risquer. Avec quelques centaines ou milliers d’euros, vous aurez du mal à obtenir les rentabilités escomptées. Avec 20 000 euros ou 30 000 euros, vous commencez à avoir accès à plusieurs titres en même temps. C’est idéal la diversification pour espérer davantage de fructification. Vous pouvez réserver 5 000 € en moyenne pour chaque. Ainsi, si l’un des titres perd et qu’un autre gagne, vous aurez encore la chance de vous faire des gains avec une différence positive. C’est comme ça que les risques sont amortis.
Commencez par vous ouvrir un PEA (Plan d’Épargne en Actions) ou un compte titre ordinaire. Puis, achetez des actions prometteuses et ensuite, laissez le temps faire le reste. Pour rendre plus en profondeur, ouvrez un compte titre réel. Vous pouvez notamment choisir un courtier Forex ou CFD.
Néanmoins, si vous n’êtes pas connaisseur dans le domaine au moment où vous désirez investir cet argent, il faudra commencer par s’entrainer aussi longtemps que nécessaire, jusqu’à un an, dans le milieu de la bourse virtuelle. Pendant ce temps, vous pourrez continuer à épargner pour booster encore votre capital. Après quoi, vous devez continuer l’entrainement cette fois avec de l’argent réel, mais avec un fond limité. Utilisez seulement 2 000 € à 3 000 € pour du day-trading afin d’avoir un avant-goût. Durant cette période, vous pouvez continuer à vous renseigner davantage et à encaisser astuce sur astuce. Par la suite, vous augmenterez petit à petit vos lots. Ainsi, vous aurez plus de chances de devenir un trader pro.
Réinvestissez ce que vous y aurez gagné afin de profiter des magnifiques avantages des intérêts composés. La bourse est aussi un excellent endroit pour exploiter l’effet de levier. 5 niveaux vous sont disponibles, pour vous offrir jusqu’à soit 5 fois plus de gains, soit 5 fois de pertes à cause des risques. Pour toujours amortir les risques, n‘investissez pas tout en une seule fois, garder toujours des liquidités pour renforcer certaines lignes si leur situation devient plus avantageuse. Attention également aux frais de courtage qu’il ne faut pas minimiser, et aux parts qui reviennent à l’État.

Créer son entreprise

Avec 20 000 euros ou 30 000 euros, vous ferez très bien de construire personnellement quelque chose qui vous permettra de vous faire des revenus supplémentaires réguliers. Pour cela, créez votre société. Le mieux serait toujours d’exploiter une passion pour pouvoir s’assurer la persévérance et la production d’idées. Autrement, vous pouvez partir à l’affut d’un marché de niche en créant votre propre produit ou service particulier, destiné à une poignée limitée de gens. Il faut voir davantage la rentabilité et pas toujours le volume. Il y a également internet, où vous pourrez créer votre boutique en ligne et vendre vos produits. Il peut y être tout aussi intéressant de devenir revendeur de grandes marques. Le chemin est long et épineux, mais il n’y a rien d’impossible à ceux qui osent prendre le risque.

Partir faire carrière à l’étranger

Si vous pensez que dans votre pays, les perspectives de carrière et les conditions de travail sont moins intéressantes par rapport à d’autres, vous pouvez très bien investir les 20 000 euros ou 30 000 euros dans votre expatriation. Les avantages peuvent être nombreux, comme de profiter d’un climat plus clément tout en s’épanouissant davantage dans son travail. Les parents auront également la possibilité de rejoindre un environnement que vous jugez plus propice à la vie de famille. En choisissant bien votre destination, les opportunités d’un revenu élevé pourraient s’offrir à vous. Cette tendance a fait des bonds dernièrement. On s’en rend vite compte en voyant des milliers de personnes en prendre chaque année la décision.
Vous avez maintenant eu un aperçu des meilleures options d’investissement de votre belle somme de 20 000 euros ou 30 000 euros. Quelle que soit votre décision, il y a une part de risque. Alors, faites le choix de n’embarquer que dans quelque chose que vous pensez pouvoir mieux maitriser et qui vous a particulièrement convaincu.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : investir 20 000 euros, investir 30 000 euros

Combien investir en bourse ? Quel montant…

juin 25, 2018 par swealth Laisser un commentaire

investir en bourseLa bourse est un secteur d’investissement aussi alléchant que risqué.
Si vous ne savez pas correctement vous prendre, il peut avaler d’un trait tout ce que vous y avez investi.
Autrement, il peut vous rendre riche rapidement.
Beaucoup de gens sont attirés par ces belles perspectives et se disent près, chacun venant avec un montant différent.
Mais quel montant est réellement idéal pour débuter sur ce marché ? Combien investir en bourse ? Cet article élude la question pour vous.

Éviter les contraintes d’un minimum trop strict

Ce dont il faut se mettre d’accord dès le début, c’est que dans tous les cas d’investissement bourse, vous devez vous servir de l’argent que vous êtes prêt à risquer et que vous ne soyez pas tenu de réclamer de sitôt. Ce montant doit également vous permettre de vous placer dans de meilleures conditions, car tous les produits ont leurs prix et certains sont moins risqués que d’autres. Avec une somme trop basse, vous n’aurez pas droit aux plus intéressants. Surtout, vous ne serez pas en mesure de diversifier votre portefeuille. Or, c’est la principale clé d’une réussite dans ce domaine, puisqu’elle vous permet de diviser les risques. Vous pourrez ainsi amortir vos pertes par les gains perçus dans d’autres titres.
Il faudrait aussi que vous soyez conscient des frais de courtage qui devront à chaque fois être déduits de votre fonds. Ces derniers tournent autour de 0,2% par transaction. Ce qui fait qu’en investissant une toute petite somme, ce frais signifiera beaucoup, mais passera plus ou moins inaperçu dans l’autre cas. À cause toujours du montant restreint que vous aurez investi, vous devrez faire face à des contraintes par rapport à ces frais. Le cas se présente lorsque vous achetez des actions que vous revendrez aussitôt que vous avez fait une progression. Or, si vos gains n’ont pas été considérables, ils seront soumis au minimum des frais de courtage et vos gains risquent alors d’être annulés. Ce qui signifie en d’autres termes qu’avec peu de liquidités, vous devez dépasser une certaine progression pour espérer gagner quelque chose.
La leçon à tirer de tout cela, c’est qu’il faut attendre de faire des économies plus convenables avant de se lancer sur ce marché. Donc, combien investir en bourse ? Il est conseillé de n’y songer que si vous avez amassé 1 000 € ou plus. C’est le montant que nous vous suggérons.

Les produits à effet de levier

Les produits à effet de levier, notamment les Contrats pour la Différence et les SRD, sont des produits affriolants de la bourse dans lesquels vous pourrez investir la première fois, à condition de bien connaitre le marché. Il faut surtout faire attention à l’effet de levier, car les risques de gains et de pertes sont parfaitement égaux. Les débutants ont généralement de petits portefeuilles, et ce sont aussi eux les plus appâtés par l’effet de levier. Or, la bourse est comme un casino, où la situation peut changer à tout moment. Alors, si par exemple vous profitez de l’effet de levier jusqu’au maximum permis c’est à dire le niveau 5. La moindre variation, négative ou positive, sera multipliée 5 fois sur votre portefeuille, soit à votre perte, soit à votre avantage. Mais plus on aura de capital, plus on a tendance à freiner notre sollicitation de l’effet de levier financier.

Le forex

Le Forex est un bon endroit pour débuter en bourse. Ce marché s’est développé sur le trading des devises étrangères, principales, secondaires ou exotiques. Vous pourrez d’ailleurs commencer avec une toute petite somme, car certaines plateformes vous ouvrent leurs portes dès 100 €. Les bénéfices seront toutefois relatifs au capital investi, ne vous attendez donc pas à vous enrichir dans peu de temps.

Les produits dérivés

Pour appréhender une bonne position en bourse, commencez par des produits dérivés. Ces derniers sont moins risqués. Il y a notamment les OPCVM (Organisme de Placement de Valeurs Mobilières) que vous pourrez investir en actions. Vous avez deux choix sur cette option, une SICAV ou un FCP. Certes, les intérêts sont moins alléchants, mais vous permettront d’avoir un avant-goût de ce qui vous attend dans les entrailles du trading. En plus, votre seul placement sera plus sécurisé investi sur plusieurs valeurs en même temps.
Autrement, il est conseillé de s’accorder un long moment d’exercice avec un portefeuille virtuel. Vous apprendrez à manipuler les actions sans perdre aucun centime, car il ne s’agit pas d’argent réel. Si vous avez constaté de bons résultats une fois ce délai passé, vous pouvez maintenant organiser sérieusement votre premier pas.

Le goût du risque

La bourse, c’est un investissement basé sur le risque. Plus on mise, mieux on augmente nos chances de gagner plus. Mais la diversification est toujours de mise lorsqu’on veut investir en bourse avec succès. C’est pourquoi il faudra vraiment atteindre cette possibilité pour commencer à tirer réellement profit de son investissement en bourse. Vous devez pour cela penser au minimum de valeurs qui vous permettra de diversifier votre portefeuille. Si vous estimez que 3 suffisent, réservez au moins 1 000 € pour chacun et lancez-vous. Il serait toutefois risqué de choisir n’importe lesquelles.
C’est là que doit intervenir votre connaissance du marché en général, des sociétés qui vous intéressent, des rouages et des tactiques qu’il faut avoir pour mieux avancer. Les courtiers, des commissionnaires, sont à votre disposition pour vous conseiller, mais cela ne vous ôte pas la responsabilité sur vos décisions. C’est pourquoi vous devez être quelqu’un d’averti, avec l’obligation de se mettre à jour aussi fréquemment que possible de la situation du marché boursier.
Après, la diversification peut s’étendre sur les produits et les pays. Dans ce cas, vous aurez besoin d’au moins 5 000 € pour la rendre possible. Ainsi, vous serez assuré de commencer avec moins de risques. Il est également permis aujourd’hui de copier ses opérations sur celles d’un trader renommé, mais ce qui ne garantit pas toujours un gain. Il faut faire constamment attention de ne pas tout suivre aveuglément, car vos portefeuilles sont différents, si bien que chacun doit être mieux placé concernant ce qu’il peut se permettre ou non avec son argent. Maintenant, vous pouvez un tout petit peu compter sur la chance du débutant.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : combien investir, investir en bourse

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Qui suis-je ?

Sylvain Wealth Argentwebmarketing

Mon nom est Sylvain, et j'ai 35 ans. Je suis entrepreneur et investisseur depuis déjà une dizaine d'années. J'ai démarré ma conquête vers la liberté financière dès mon tout jeune âge. Ça remonte à l'époque où j'étais encore sur les bancs d'école et que j'occupais de petits boulots mal payés.

Suite à un surendettement et une perte d'emploi, je me suis promis de ne plus jamais revivre un situation aussi frustrante et stressante. C'est aussi à partir de ce moment que j'ai commencé à étudier le monde des finances à travers des livres, des formations et même des études universitaires.

Depuis lors, les choses ont commencé à changer positivement pour moi. Avant l'âge de 30 ans, j'ai atteint la liberté financière. Aujourd'hui, je n'ai aucune dette. Mieux, j'ai réussi à me bâtir un patrimoine financier. J'entreprends et j'investis dans des domaines variés.

Au travers de ce site, je partage des stratégies pour aider mes lecteurs à devenir plus libre financièrement. J'offre également des formations plus approfondies sur le sujet pour vous permettre d'atteindre l'indépendance financièrement. Vous pouvez découvrir tous mes programmes avancés en cliquant ici !

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