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Robot Trading / Copy Trading: Arnaque ? Le Scandale Livret Alpha et DollarKing de Laurent Chenot

août 25, 2020 par swealth Laisser un commentaire

Avec la baisse continue de la rémunération des produits d’épargne bancaire, investir en bourse devient une option de plus en plus répandue. Les rendements élevés que la Bourse peut offrir attirent l’épargne des Français.

Les placements et portefeuilles boursiers nécessitent un suivi et une gestion particulière pour être rentables. Ce rôle habituellement tenu par les traders, grâce aux avancées technologiques telles que l’intelligence artificielle, est déjà ouvert à l’automatisation.

Plusieurs formules se développent dans le trading automatisé, notamment le copy trading et le robot trading. Seulement, l’opacité des marchés (pour les profanes) combinée avec cette automatisation soulève certaines interrogations sur ces solutions d’investissement, dont le nombre d’offres explose sur Internet.

Copy trading et trading social

C’est en 2005 que le copy trading émerge dans la même mouvance que le trading algorithmique, à la base de toutes les solutions de trading automatisé. Le copy trading consiste pour un individu opérant sur les marchés financiers à copier intégralement la stratégie d’investissement d’un autre acteur.

Ainsi, une partie ou l’intégralité de son fonds, toutes les positions ouvertes et gérées par l’investisseur copié seront immédiatement répliquées sur le fonds de celui qui pratique le copy trading.

Le copy trading est une forme de trading social. En effet, il faudrait d’abord qu’un trader publie toutes les informations liées à sa stratégie de gestion de portefeuille, afin qu’elle puisse être copiée. Il existe donc des plateformes où des communautés d’investisseurs se créent et échangent des informations sur les marchés financiers, et présentent leur propre activité de trading.

Chaque investisseur peut donc créer un compte sur lequel il présente ses analyses, observations, opinions, graphiques, méthodes et stratégies.

Sur le plan fonctionnel, l’individu qui utilise le copy trading consulte les informations publiées sur le réseau et choisit de s’aligner sur la stratégie d’un investisseur. Ce dernier fait souvent payer des frais fixes de façon périodique à ceux qui le copient.

Le copy trading en règle générale permet de garder un contrôle relatif sur son capital et son portefeuille, en suspendant l’exécution des positions à « copier » et même en mettant fin à la copie. C’est cette possibilité qui distingue le copy trading du mirror trading. Dans ce dernier cas, le compte de celui qui opte pour le mirror trading est complètement automatisé, les positions de la stratégie copiée étant tous répliqués.

Il existe plusieurs plateformes de social trading, la plus influente étant eToro. Elle compte plus de 10 millions d’utilisateurs et est règlementée par les autorités de marchés financiers à Chypre, au Royaume-Uni et en Australie

Robot trading : les algorithmes aux services des marchés

Cette mode a beaucoup été adoptée dans les segments du marché des actions et celui des devises. Le robot trading est un programme informatique conçu pour l’activité de trading. Il s’agit donc d’un logiciel qui, sans intervention humaine, va placer des ordres de vente ou d’achat sur les marchés financiers.

Il en existe un très grand nombre. La croissance de ce produit est poussée par la fièvre du trading sur Internet. Dans le principe, un robot trading pour permet d’opérer en bourse à partir de chez vous et en continu.

Chaque robot trading est basé sur un algorithme qui est lui-même conçu par un trader. Il opère à partir de méthodes d’analyse et en prenant en compte un certain nombre de critères définis. On regroupe deux grandes classes de robots trading, selon la façon dont il génère leurs résultats :

  • L’analyse technique : les robots qui fonctionnent selon ce principe vont analyser sur la durée des titres comme des paires de devises ou une action. Le but est d’identifier des motifs qui se répètent afin d’anticiper l’évolution d’un titre et de pouvoir en tirer profit. Le suivi de l’évolution des cours à la hausse ou la baisse permettra de décider de vendre ou d’acheter, avec une précision et une vitesse optimale.
  • L’analyse fondamentale : elle diffère de l’analyse technique parce qu’elle porte sur les acteurs et les données économiques en elles-mêmes, plutôt que sur les mouvements du marché. On distingue dans l’analyse fondamentale deux options :
  • Le screening : outil très utilisé, il s’agit de déterminer une série limitée d’options d’investissements rentables à partir de l’analyse financière d’entreprises et de données macro-économiques
  • La publication d’indicateurs économiques : Certains robots vont plutôt se baser sur la réactivité après la divulgation d’informations économiques de premier ordre comme des changements de régulation ou des rapports sur la croissance. Leur but est d’en tirer parti le plus rapidement possible avant qu’elles se diffusent et manifestent leurs effets.

Les robots de trading se retrouvent essentiellement sur Internet. Ce sont des produits qui ciblent particulièrement les traders amateurs, avec une approche basée sur des promesses de rentabilité spécifiques. L’accès à un robot trading sur Internet peut être gratuit ou payant.

Face à ces méthodes de trading : engouement ou méfiance ?

Les sites et plateformes qui proposent du copy trading ou les services de robot trading inondent la toile de leurs offres. Pour l’essentiel, elles se bornent à promettre des bénéfices rapides et relativement intéressants. Même si la prudence est toujours une sage attitude, les bénéfices qu’on peut tirer de ces méthodes sont certains :

  • L’accès au trading pour les néophytes : C’est le principal avantage. Sans avoir une formation en finance ou une connaissance des marchés financiers, le copy trading ou le robot trading vous permettent d’investir en bourse et potentiellement d’effectuer des gains. Un savoir-faire est mis à votre disposition et votre capital est rentabilisé.
  • Le gain de temps : l’activité de trading demande du temps. Il faut être capable de trouver l’information pertinente, de l’analyser afin de prendre des décisions sur le marché. Vous n’avez donc pas besoin de lire des revues et des rapports financiers. De plus, un robot trading par exemple travaille 24 heures sur 24 sans arrêt. Il peut donc suivre et opérer sur des places financières partout dans le monde.

Une étude financée par le MIT confirme d’ailleurs le coté bénéfique du copy trading. Menée sur eToro, l’étude montre que les performances des individus qui copient la stratégie d’un investisseur recommandé sont 6 à 10 % plus élevées que celles de ceux qui font du trading manuel.

Il faut néanmoins tenir compte des inconvénients et des limites de ces méthodes d’investissements :

  • La dépendance : que ce soit dans le cas du copy trading ou du robot trading, vous êtes entièrement dépendant de la méthode utilisée. Cette dernière est toujours basée sur la compétence d’un trader. S’il se crashe ou fait des erreurs de stratégie, vous les subissez inévitables. Malgré la puissance de calcul d’un robot trading, il fonctionne toujours sur la base d’algorithmes et d’hypothèses créés par un trader.
  • Le robot trading en particulier est limité dans son incapacité à évoluer ou s’adapter aux conditions particulières du marché. Il fonctionne à partir d’instructions fixes, et l’environnement peut évoluer au point où ses résultats deviennent erronés. De plus, l’intuition est sans aucun doute un des atouts d’un grand trader, une propriété qu’un robot ne peut pas posséder.
  • L’implication faible ou nulle de l’individu dans les diverses opérations boursières ne lui permet pas de progresser dans sa compréhension de la Bourse ou de capitaliser de l’expérience au fil du temps.

Le scandale Livret Alpha et Robot King ou la fiabilité mitigée du trading automatisé

Une actualité illustre bien la difficulté d’évaluer la fiabilité de ces offres de trading automatisé. Il s’agit du scandale Livret Alpha et Robot King. Derrière ces noms vendeurs se retrouvent deux produits de placement offerts au public par Laurent Chenot. C’est un entrepreneur et coach en infoprenariat français.

Après des études réalisées notamment à Harvard et une carrière dans le conseil et la finance, il se lance dans l’entrepreneuriat avec un certain succès. En fin 2019, il crée une firme dans la fintech et lance le Livret Alpha et le robot de trading Robot King. Ce livret Alpha consistait en des placements gérés par un trader professionnel. Mais très rapidement, des plaintes faites par des clients de ces offres émergent.

Après des périodes de succès et de croissance de leur portefeuille, elles auraient enregistré d’énormes pertes en capital. Des témoignages font même état de ce qu’après les pertes subies sur le livret Alpha, des clients se seraient vu proposer d’investir avec Robot King, sans grand succès.

Mais pour le promoteur Laurent Chenot, il n’y a pas de défaillance en soi. Ses produits fonctionnent correctement. On retrouve d’ailleurs des témoignages positifs, même si certains les remettent en question.

Il est difficile de se prononcer de façon claire actuellement sur le fond, s’il est entendu que l’investissement en bourse est par essence risqué. Mais les plaintes apparues prouvent qu’il y avait une disproportion entre les promesses de rentabilité initiales et la réalité.

En somme, il semble donc évident que le copy trading ou le robot trading soient loin d’être des solutions infaillibles pour s’enrichir lorsque vous êtes nouveau dans le monde de la bourse. Vous devez analyser ces offres avec méthode et prudence. La participation à des forums de trading social doit vous permettre de miser sur des stratégies qui ont déjà fait leurs preuves sur le moyen-long terme avant de vous lancer en copy trading.

De plus, il est nécessaire sur la durée de se former soi-même un minimum, les outils de trading automatiques dévoilant leur meilleur potentiel entrent dans le cadre d’une stratégie propre. Ce constat s’applique encore plus aux robots de tradings.

En effet, si ces robots suffisaient à produire des rentabilités remarquables à long terme, le métier même de trader disparaîtrait ; les meilleurs robots trading sont développés par des investisseurs institutionnels, à l’usage exclusif de leurs traders comme outils d’aide à la décision. Les robots trading qui garantissent en soi de bons rendements doivent être considérés avec la plus grande prudence, encore plus s’ils sont gratuits.

Catégorie(s) : Investissement Étiqueté : copy trading, dollarking, laurent chenot, livret alpha, robot trading

15 conseils pour dépenser moins d’argent

mai 26, 2020 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

Entre les nombreuses factures et les dépenses du quotidien, notre budget est souvent mis à mal.

Dès le 15 du mois, il devient parfois difficile de ne pas être dans le rouge.

Pourtant, il existe des solutions pour économiser sans se priver.

Pour savoir comment faire, découvrez ces 15 conseils pour dépenser moins d’argent facilement !

Moins dépenser d’argent intelligemment 

Moins dépenser d’argent est à la base d’une gestion saine de son budget. Pour ne pas devenir esclave de l’argent et éviter le cycle infernal du « Travailler plus pour gagner plus et dépenser plus », la première chose à faire est de ne pas gaspiller les euro gagnés chaque mois.

Économiser permet aussi de pouvoir épargner plus facilement. Avoir un coussin de sécurité est indispensable pour ne pas être démuni en cas d’imprévu. Par la suite, vous pourrez même investir une partie de votre pécule pour faire travailler votre argent et tendre à l’indépendance financière.

Dépenser moins d’argent n’est pas aussi compliqué qu’on se l’imagine. Vous n’avez pas besoin de couper le chauffage en plein hiver, ni de n’acheter que des aliments discount pour économiser quelques euro. Il suffit d’appliquer quelques conseils indispensables qui constituent la base de l’éducation financière.

1-Faire le tri dans ses dépenses

Ce premier conseil pour dépenser moins d’argent peut sembler évident. Pourtant, en y regardant de plus près nous avons tous des dépenses inutiles qui viennent grignoter notre budget, l’air de rien. Si vous voulez économiser, commencez donc par faire le tri dans vos dépenses !

Listez chacune d’elles sur une feuille de papier, avec son montant exact. Vous vous apercevrez que certaines ne relèvent pas de la nécessité. Voici les seules sorties d’argent qui sont inévitables :

  • le loyer de votre logement,
  • l’assurance habitation,
  • l’énergie (gaz, électricité, fuel),
  • l’abonnement téléphonique,
  • la mutuelle santé,
  • le forfait de transport,
  • la nourriture.

Si vous avez des enfants, vous pouvez y ajouter tous les frais indispensables les concernant. De même, si vous possédez une voiture. Vous remarquerez qu’Internet n’est pas inclus dans cette liste. Son caractère indispensable dépend de votre activité, car la plupart des smartphones sont aujourd’hui capables de concurrencer un ordinateur sur le plan des loisirs.

2-Établir un budget pour chaque poste

Maintenant que vous avez cerné vos postes de dépense obligatoire, il est temps d’établir un budget pour chaque poste. Pour moins dépenser d’argent, il est indispensable de savoir précisément comment organiser vos finances.

Faites le total de tous les revenus de votre foyer. Inscrivez-le sur une feuille et notez-y ensuite les différents secteurs à budgétiser. Partez du plus difficile à maîtriser, c’est-à-dire votre loyer. Répartissez ensuite l’argent restant de sorte à ce que vos sorties soient inférieures d’au moins 10 % à vos revenus. L’idéal étant d’avoir un excédent d’argent de 30 %.

Maintenant que votre budget est en ordre, tenez vous-y et ne le dépassez sous aucun prétexte. Ainsi, vous allez faire des économies substantielles puisque vos dépenses sont maintenant encadrées.

3-Renégocier tous ses contrats

Pour dépenser moins d’argent et faire correspondre vos sorties réelles à votre budget, notre conseil suivant est de renégocier tous vos contrats. Qu’il s’agisse de fourniture d’énergie, d’assurance ou de téléphonie, sachez qu’il est possible de demander une baisse de tarif.

Comparez votre offre à celle de la concurrence. Si vous trouvez moins cher, contactez votre prestataire de service en faisant mine de vouloir résilier votre abonnement. Invoquez le prix et dites-lui que vous avez trouvé moins cher. En général, vous pouvez bénéficier d’un geste commercial.

Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à changer. Pour faire un maximum d’économies sur certains services, comme la téléphonie, il est conseillé de le faire régulièrement. Profitez-en pour évaluer l’adéquation entre votre offre et vos besoins.

4-Prendre moins souvent la voiture

Les possesseurs d’auto le savent, une voiture représente une part importante des dépenses d’un foyer. Pour éviter une hémorragie budgétaire, conduire moins souvent est une bonne solution. Non seulement, vous ferez des économies sur l’essence et l’usure du véhicule, mais vous pouvez aussi négocier une ristourne auprès de votre assureur.

Si vous habitez en ville, vous pouvez aller plus loin en vous interrogeant sur l’utilité réelle de cette possession. Pour ceux qui bénéficient d’un bon maillage de transport en commun, il est souvent plus économique de revendre son auto et d’en louer une pour des trajets ponctuels.

Vous ne pouvez pas vous passer d’elle ? Pensez au covoiturage pour réduire vos frais. Un conseil pour dépenser moins d’argent qui permet aussi de créer du lien social et d’aider les autres à se déplacer tout en maîtrisant leur budget.

5-Cuisiner tous ses repas soi-même

Vous faites partie des salariés qui optent pour un sandwich à la boulangerie du coin le midi ou un plat au restaurant de l’entreprise ? Gardez votre argent en cuisinant vos repas vous-même ! Un repas à 4 ou 5 €, cela n’a l’air de rien. Mais pris sur une année cela fait des sommes conséquentes.

En achetant de quoi vous cuisiner de bons petits plats vous pouvez moins dépenser d’argent tout en vous régalant. Pas besoin d’être un as des fourneaux, ni de passer des heures en cuisine. Le web regorge de recettes délicieuses, rapides et facile à faire.

Même démarche pour ces 3 cafés que vous prenez chaque jour au distributeur, cette canette de soda ou cette friandise. Achetez de quoi vous faire un en cas, investissez dans un thermos et vous ferez des économies.

6-Faire sa liste de courses à l’avance

Voilà un conseil qui va vous éviter de gaspiller de l’argent au moment de faire vos courses. Ce passage obligé est souvent l’occasion de débourser plus que prévu en faisant des achats inutiles. Pour ne pas succomber à la tentation faire sa liste à l’avance est la meilleure solution.

Établissez vos menus de la semaine afin de savoir précisément de quoi vousavez besoin. Regroupez les produits par rayon afin d’optimiser votre passage. Ne visitez que ceux dans lesquels vous avez quelque chose à acheter. Si vous avez des enfants en bas âge, évitez autant que possible de les amener avec vous. Grâce à cette nouvelle organisation, vous allez moins dépenser d’argent chaque semaine.

7-Évitez les sorties inutiles dans les magasins

Jadis lieu de passage contraint, les magasins sont devenus un lieu de promenade, en particulier les grands centres commerciaux. Malheureusement, les publicitaires rivalisent d’ingéniosité pour vous pousser à l’achat. Ces petites virées sont donc le meilleur moyen de dilapider vos économies sans même vous en rendre compte. La tentation est aussi présente sur Internet ou tout est accessible à portée de clic.

Pour garder votre bourse fermée et protéger vos sous, ne fréquentez les zones commerciales qu’en cas de nécessité. De même, n’allez sur le web que dans un but précis et évitez de vous en écarter.

Trouvez des loisirs épanouissants pour occuper votre temps. Cela vous permettra de vous enrichir aussi bien sur le plan humain que financier.

8-Faire durer ce que l’on possède

Ce conseil pour dépenser moins d’argent est salutaire pour votre pécule. Grâce à lui, vous pouvez économiser des dizaines, voir des centaines, d’euro chaque année. Prenez le plus grand soin de vos affaires afin d’éviter d’avoir à les remplacer.

Cela vaut aussi bien pour les vêtements que pour l’électroménager, l’informatique ou votre voiture. Bichonnez vos biens et évitez d’en faire un usage inapproprié. Lorsqu’un appareil ne fonctionne plus, renseignez-vous sur la possibilité de le faire réparer avant de le condamner à la poubelle.

Il est souvent possible de donner une seconde vie à un smartphone dont l’écran est cassé ou à un lave-linge qui fuit et cela revient bien moins cher que l’achat d’un nouveau matériel. Idem pour votre garde-robe. Ainsi, ce sont quelques sous en plus qui restent dans votre tirelire.

9-Réfléchir avant chaque achat

Pour moins dépenser d’argent, il faut éviter les achats inutiles,  nous l’avons dit. Une excellente technique pour cela est celle du délai de réflexion obligatoire. Lorsqu’un objet vous fait envie lors d’une sortie, ou qu’une publicité vous séduit, ne passez pas à la caisse tout de suite.

Prenez-le en photo et dites-vous que si vous en avez toujours envie dans une semaine, vous reviendrez l’acheter. Pendant les 3 premiers jours, n’y pensez plus. Une fois passé ce délai, interrogez-vous sur votre désir d’achat. La plupart du temps, il s’est évanoui.

Dans le cas contraire, questionnez-vous sur la réelle utilité de dépenser de l’argent pour l’acquérir. Vous apportera-t-il vraiment des bénéfices concrets au quotidien ? Faites des recherches sur Internet pour le trouver au meilleur prix. Dans 9 cas sur 10, vous arriverez à la conclusion que ce n’est pas indispensable et garderez vos deniers.

10-Acheter d’occasion pour dépenser moins d’argent

Même en utilisant toutes les stratégies possibles pour faire des économies, certains achats restent tout de même contraints. Dans ce cas, acheter d’occasion est une excellente façon de dépenser moins d’argent. Le marché est si vaste qu’il est possible de presque tout trouver de cette manière.

Vous êtes réticent à ne pas acheter neuf ? Sachez que la plupart du temps, les objets vendus ont à peine servi. Certains sont même encore dans leur emballage d’origine. Un article utilisé 2 fois peut se vendre moins de la moitié de son prix à neuf !

Une belle occasion de faire des économies et de vous payer des articles de marque inaccessibles en temps normal. Ultime argument en faveur de l’occasion : ce mode de consommation responsable est aussi bon pour la planète que pour votre portefeuille.

11-Prendre le temps de comparer les prix

Lorsque vous êtes obligé de faire l’achat d’un bien neuf, prenez toujours le temps de comparer les prix. Ce rituel peut sembler fastidieux, mais il permet de faire des économies non-négligeables. En matière d’éducation financière, chaque sou mis de côté compte.

Il est souvent moins cher d’acheter en ligne, mais pas toujours. Pour éviter les fausses bonnes affaires, qui sont la hantise de tous les portefeuilles, faites le tour des commerces de votre secteur pour relever les tarifs.

Ne vous fiez pas non plus à tous les comparateurs de prix, Google Shopping en particulier. Ils ont souvent des accords financiers avec certains marchands. Leurs conseils ne sont donc pas forcément neutres. La meilleure solution pour dépenser moins d’argent est encore d’enquêter vous-même.

12-Se mettre au bricolage pour les petits travaux

Les réparations courantes sont une autre source de dépense importance. Un simple évier bouché peut faire le bonheur de votre plombier, mais pas celui de votre compte en banque ! Pour éviter de dilapider votre pécule en factures, mettez-vous au bricolage pour les réparations de base.

Que ce soit pour poser une étagère, peindre un mur ou changer un siphon, le web regorge de vidéos explicatives qui permettent d’éviter de casser votre tirelire.

Attention toutefois, certains domaines, comme l’électricité ou les interventions sur les installations de gaz imposent le recours à un professionnel. Ne négligez pas ces réparations, les faire en temps et en heure évite des dépenses importantes par la suite.

13-Privilégier les loisirs gratuits

Avoir des loisirs variés permet de protéger votre pécule en vous détournant de la tentation des virées shopping. Pour encore moins dépenser d’argent, privilégiez ceux qui sont gratuits, ou ne coûtent pas cher.

La lecture, par exemple, est un loisir très bon marché si vous allez dans une bibliothèque. De nombreuses municipalités proposent des activités sportives et culturelles gratuites, ou bon marché. Si vous avez des espaces verts à côté de chez vous, souvenez-vous que se balader dans la nature est gratuit.

14-Prendre soin de sa santé

C’est un conseil souvent négligé. Pourtant, il peut vraiment vous permettre de moins dépenser d’argent et vous permettre de continuer à en gagner. Négliger votre santé au quotidien vous expose à la survenue de maladies qui peuvent engendrer de lourdes dépenses ou une perte de salaire en cas d’arrêt de travail.

Pour éviter de vois vos économies s’envoler, adoptez une bonne hygiène de vie :

  • mangez sainement ( surtout des fruits et des légumes,
  • dormez au moins 7 heures chaque nuit,
  • arrêtez l’alcool et dites stop au tabac,
  • faites du sport de façon régulière.

Même si vous n’êtes pas malade, allez voir votre généraliste une fois par an pour faire un bilan. Faites de même avec le dentiste et le gynécologue. Tous les 2 ans, un passage chez l’ophtalmo s’impose. Votre corps vous en sera reconnaissant, votre portefeuille aussi.

15-Épargner au début de chaque mois

Le principal intérêt de moins dépenser d’argent, c’est de pouvoir épargner. Mais chaque mois, c’est pareil : l’argent gagné est bien vite dépensé. Pour ne pas manger votre blé en herbe, la solution consiste à programmer un virement automatique sur votre compte épargne le jour où vous touchez votre salaire.

L’idéal est que ce versement soitd’au moins 10 % de vos revenus. Ajoutez-y aussi toutes les petites économies réalisées grâce à nos conseils. Imaginons, par exemple, que vous mettiez de côté 150 € chaque mois. En renégociant votre forfait mobile, vous avez gagné 10 €. À partir du mois suivant, versez donc 160 € dans votre tirelire. Ce petit pécule est votre meilleur ami, alors prenez-en soin !

Grâce à ces 15 conseils malins pour dépenser moins d’argent, vous pouvez commencer à faire des économies dès aujourd’hui. Une fois le ménage fait dans vos finances et les bonnes habitudes mises en place, vous serez surpris de voir votre cagnotte grossir à vue d’œil. Il ne vous reste plus qu’à passer à l’action pour les appliquer dès la fin de cet article. Alors, à vos calculettes !

Catégorie(s) : Finance personnelle Étiqueté : comment dépenser moins d'argent, dépenser moins d'argent

Comment négocier comme un pro ?

mai 12, 2020 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

Qu’il s’agisse d’investir dans l’immobilier, de faire revaloriser son salaire ou d’obtenir un rabais, la négociation tient une part importante dans notre vie.

Si pour certains, il s’agit d’un exercice facile, elle peut sembler intimidante pour ceux qui n’ont pas une fibre commerciale innée.

Mais, rassurez-vous, il est tout à fait possible d’appendre cette discipline de façon simple et rapide.

Vous voulez savoir négocier comme un pro ?

Voici les clés indispensables pour y parvenir !

Les bases de la négociation

Pour négocier comme un pro, il est essentiel de connaître les bases indispensables pour mener à bien n’importe quelle tractation. Ces trois piliers fondamentaux sont valables dans toutes les situations et quel que soit l’objet du débat. Sans eux, vous ne tirerez pas le maximum de votre discussion et vous risquez de sortir perdant de l’affaire. Voici les règles d’or à respecter en toute circonstance.

Se fixer une limite claire

Savoir se fixer une limite claire est la première règle de toute négociation réussie. Vous devez savoir exactement ce que vous voulez avant d’entamer la discussion. Ne vous contentez pas de dire « Je veux une augmentation de salaire », ou « Je veux un rabais sur le prix de cette maison ». Il faut déterminer à l’avance le montant de l’augmentation ou de la ristourne que vous souhaitez.

Connaître votre objectif permet de fixer la limite en dessous de laquelle vous ne pouvez pas descendre pour que l’affaire reste rentable pour vous. Par exemple, si après calcul, le prix de l’appartement dans lequel vous souhaitez investir ne doit pas dépasser 80 000 € pour vous permettre de dégager suffisamment de cash-flow, n’acceptez de dépasser cette limite sous aucun prétexte. Les négociations, comme les enchères, peuvent être source d’emportement. Tracer à l’avance la ligne rouge permet de ne pas se laisser emporter.

Méfiez-vous des ruses destinées à vous faire revenir sur votre position, comme la promesse d’avantages en nature ou d’économies si vous acceptez de repousser un peu le seuil que vous vous êtes fixé. Si une telle proposition vous est faite, elle doit faire l’objet de calculs rigoureux pour vérifier que l’affaire vous est réellement profitable.

Avoir les nerfs solides

Comme les ventes aux enchères, les négociations demandent d’avoir une parfaite maîtrise de soi pour être remportées. Il est normal de passer par plusieurs stades émotionnels, car une tractation est source de stress. Elle mobilise souvent des enjeux financiers important et touche parfois à des choses fortes comme vos valeurs. Pour réussir, vous devez absolument garder la tête froide. Ce ne sont pas vos sentiments qui doivent mener la danse, mais votre raison.

La tâche peut s’avérer particulièrement difficile lorsque la personne en face tente de jouer sur la corde sensible pour vous faire céder. Cela peut être en tentant de vous apitoyer, en se montrant amical pour faire baisser votre vigilance, ou au contraire en étant agressif pour tenter de vous impressionner. Gardez toujours en tête que l’intérêt de votre interlocuteur est à l’exact opposé du vôtre. Il va donc user de tous les arguments possibles pour vous infléchir.

Ne tombez pas dans le piège de la réaction miroir, qui vous pousse à vous comporter comme l’autre. N’oubliez pas que la bienveillance ou l’agressivité que manifeste votre adversaire est très certainement feintes. Conservez votre calme en toute circonstance et ne répondez ni aux flatteries, ni aux provocations.

Seuls les chiffres comptent

Négocier comme un pro, c’est avoir conscience que seuls les chiffres comptent. Ce sont eux qui vous disent si vous faites une bonne ou une mauvaise affaire. Oubliez tous les autres arguments. Votre patron tente de vous persuader que sa gratitude et la reconnaissance de vos collaborateurs, ou un diplôme d’employé du mois valent mieux qu’une augmentation de salaire ? Le vendeur auprès de qui vous tentez d’obtenir un rabais vous promet que l’objet dont vous voulez faire baisser le prix prendra de la valeur, car c’est un excellent investissement ? Ne vous laissez pas berner !

Le seul souci qui doit vous guider, c’est celui de savoir si vous faites une bonne affaire aujourd’hui. Comme le dit un proverbe bien connu : « Un tiens vaut mieux que deux, tu l’auras ». La gratitude n’a jamais payé les factures et rien ne prouve que les prédictions de plus-values du vendeur se réaliseront. Aux promesses incertaines, préférez la certitude de ce que vous pouvez gagner dans le présent. C’est pour cela qu’en matière de négociation, les chiffres et la raison doivent primer sur toute autre considération quelle qu’elle soit.

Bien préparer sa négociation

Une négociation est comme une compétition sportive ou un entretien d’embauche, elle doit être minutieusement préparée pour réussir. La première chose à prendre en considération est le cadre dans lequel elle se déroule. On n’aborde pas de la même manière une revalorisation salariale, un rabais sur un bien immobilier, un geste commercial ou un contrat d’affaires. Négocier comme un pro, c’est savoir s’adapter à la situation.

Vous devez connaître vos futurs interlocuteurs et savoir où ils se situent par rapport à vous. S’agit-il de vos supérieurs, de clients, êtes-vous sur un pied d’égalité avec eux ? Comprendre qui ils sont, quelles sont leurs valeurs et comment ils pensent peut vous donner des pistes précieuses pour trouver la bonne manière de vous faire entendre.

Une fois l’enjeu général et les protagonistes identifiés, évaluez ce que vous souhaitez obtenir et la manière dont votre proposition va être accueillie par la partie adverse. Préparez ensuite plusieurs arguments en votre faveur. Listez-en autant que possible sur une feuille, puis relisez-les pour ne retenir que les plus pertinents. Le nombre choisi dépendra de la durée de la négociation et de la possibilité éventuelle de pouvoir la poursuivre au-delà du premier entretien.

Entraînez-vous à développer vos idées et faites des jeux de rôles en demandant à une personne de confiance de contrer votre argumentation. Choisissez quelqu’un de neutre, qui ne vous ménagera pas pour vous être agréable. Ce type de simulation vous permet d’affiner votre discours et diminue le stress au moment de passer à l’action, car votre cerveau connaîtra déjà la situation. La peur de l’inconnu est une source de stress non-négligeable et les jeux de rôle une bonne façon d’y remédier.

Savoir être à l’écoute

Négocier comme un pro, ce n’est pas seulement l’art de savoir bien parler. C’est avant tout celui de savoir écouter attentivement l’autre. Lorsque nous parlons, nous donnons sans le savoir de nombreuses informations sur notre état d’esprit, nos croyances et nos valeurs. Autant d’informations essentielles lorsque l’on cherche à obtenir quelque chose.

Votre interlocuteur a des opinions et des convictions différentes des vôtres. Comprendre sa façon de penser permet de pénétrer son univers pour lui parler d’une façon qui lui soit accessible. Négocier, ce n’est pas faire changer l’autre de point de vue. Il est très difficile de faire changer la façon de penser et les valeurs de quelqu’un. Il est, en revanche, bien plus simple de les utiliser pour l’amener à tomber d’accord avec vous en lui donnant l’impression que ce que vous voulez est en accord avec ses valeurs.

Certains diront que cette méthode pour négocier comme un pro s’apparente à de la manipulation. En réalité, il s’agit plutôt de faire preuve de psychologie. Nous cherchons tous, dans une certaine mesure, à influencer les autres pour obtenir des choses. Cela n’a rien de malsain en soi, encore moins dans le cadre d’une négociation commerciale. C’est lorsqu’une personne agit ainsi en permanence en prenant ses proches pour cible que cela pose un problème. Rassurez-vous, vous ne deviendrez pas une mauvaise personne parce que vous maîtrisez les règles de la négociation.

Demander davantage que vous n’espérez

Autre règle essentielle pour négocier comme un pro : demandez toujours plus que vous n’espérez réellement avoir. En effet, vous devez garder à l’esprit qu’il est peu probable que votre interlocuteur se rendre à vos arguments sans résister et accède à votre demande d’entrée de jeu. Il va, lui aussi, chercher à négocier pour vous faire baisser vos prétentions.

Si vous ne prenez pas la peine de prévoir une marge de sécurité, la discussion risque de se retrouver rapidement bloquée, sauf à accepter de transiger avec la règle qui vous interdit de dépasser la limite que vous vous êtes fixé. En annonçant des exigences plus importantes qu’elles ne le sont réellement, vous gardez la possibilité de négocier. Votre vis-à-vis sera d’autant mieux disposé à votre endroit qu’il aura l’impression que vous faites un effort en lâchant du lest, alors qu’en réalité il n’en n’est rien.

Vous avez tout à gagner à utiliser cette méthode. Si vous voulez que le vendeur baisse le prix de votre future maison à 75 000 €, proposez-lui en 70 000 €. En acceptant finalement de l’acheter 5 000 € plus cher, il aura l’impression d’avoir remporté une victoire. Et si vous êtes chanceux et qu’il accepte d’emblée votre proposition, vous aurez fait des économies inattendues.

Le bluff : indispensable pour négocier comme un pro

Sur certains de ses aspects, une négociation s’apparente à une partie de poker. Le bluff fait partie intégrante de toute tractation, à condition de savoir correctement manier cette arme à double tranchant. Pour être efficace, un bluff doit respecter deux règles : être crédible et être naturel. Dans le cas contraire, votre interlocuteur se rendra compte que vous mentez et votre effet tombera à l’eau.

Prenons un exemple concret : vous voulez obtenir une revalorisation de votre salaire de 15 € de l’heure à 16 €, car vous avez obtenu de nouvelles responsabilités. Le taux horaire en vigueur pour votre poste se situe entre 15 et 17 €. Si vous bluffez en faisant croire à votre patron que vous avez été démarché par une entreprise concurrente à 19 € de l’heure, votre coup de poker ne passera pas. Le mensonge est trop gros pour être crédible. De même, si vous restez trop vague quand il vous demande des détails sur cette supposée offre concurrente, votre prestation manquera de naturel.

Pour bluffer efficacement, vous devez rester mesuré. La meilleure technique pour être vraiment convaincant, c’est d’être convaincu vous-même. Comportez-vous comme si ce que vous racontez était réellement la vérité. Bluffer efficacement demande d’avoir des capacités d’acteurs. Ce n’est pas forcément évident au début, mais c’est une technique qui se travaille. Prendre des cours de théâtre ou jouer au poker avec vos amis peut vous aider à vous perfectionner.

Faire jouer la concurrence

Les pros de la négociation savent faire jouer la concurrence avec subtilité. Lorsque vous voyez que les tractations ont du mal à avancer, c’est un argument qui peut faire mouche. Pour l’utiliser au mieux, adopter un ton revendicatif en martelant : « Mais de toute façon votre concurrent fait la même chose pour tel prix » n’est pas forcément la meilleure solution. Mieux vaut rappeler subtilement au détour d’une phrase que vous avez vu une offre plus intéressante que celle qui vous est proposée et qu’il y a des chances que vous la préfériez. Le message passera de lui-même.

Agir comme si l’autre avait déjà accepté

Lors d’une négociation, l’avantage psychologique est important. Une technique pour le prendre et le conserver consiste à agir comme si l’autre avait déjà accepté votre demande. Comportez-vous comme si vous aviez déjà remporté la bataille et que vous étiez seulement en train de discuter de quelques détails. Concrètement, tout est une question de langage. Au lieu de dire : « Et si je vous le prends à 60 000 €, vous êtes d’accord ? », dites plutôt : « Allez 60 000 €, affaire conclue ».

Savoir dire « non » et partir

Négocier comme un pro, c’est aussi avoir conscience que toutes les affaires ne peuvent pas être conclues. Dans certains cas, mieux vaut ne pas faire affaire du tout que de conclure un marché qui vous soit défavorable. Lorsque vous voyez que la situation est bloquée et que vous n’obtiendrez pas gain de cause, n’ayez pas peur de dire « non » et de mettre fin à la discussion.

Inutile de claquer la porte. Expliquez simplement de façon courtoise à votre interlocuteur que ce qu’il vous propose ne vous convient pas et que, puisque toute entente est impossible, vous préférez en rester là. Non seulement cette technique vous permet de vous protéger, mais elle permet parfois de faire céder la résistance de l’autre et d’emporter l’affaire.

La négociation est une discipline accessible à tout le monde et pas seulement aux spécialistes du bagout. Elle demande seulement un peu de pratique et une méthode claire pour être menée à bien. Entraînez-vous aussi souvent que possible. Si vos premiers essais ne produisent pas les résultats escomptés, ne vous découragez pas. Pratiquez encore et encore, vous verrez rapidement votre niveau s’améliorer. Dans toutes vos tractations, n’oubliez jamais les principes qui permettent de négocier comme un pro :

  • fixez-vous une limite non-négociable,
  • maîtrisez vos émotions,
  • ne prenez que les chiffres en compte,
  • préparez votre négociation avec soin,
  • soyez à l’écoute,
  • visez la lune si vous voulez obtenir une étoile,
  • devenez un as du bluff,
  • faites jouer la concurrence au besoin,
  • agissez comme si vous aviez déjà gagné,
  • partez au bon moment.

Catégorie(s) : Entrepreunariat, Finance personnelle Étiqueté : comment négocier, comment négocier comme un pro

Crise économique 2020 – 2021 : tout savoir sur la crise à venir !

avril 28, 2020 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

crise-economiqueDe plus en plus de voix s’élèvent parmi les économistes pour alerter de l’imminence d’une nouvelle crise économique.

Sans commune mesure avec celui de 2008, ce véritable raz-de-marée risque d’avoir des conséquences plus funestes.

Pour comprendre la menace qui se profile et vous préparer au mieux, voici tout ce que vous devez savoir sur la crise financière prévue pour 2020 et 2021 !

D’où viendra la crise économique qui s’annonce ?

Plus de 10 ans après la crise de 2008, il est légitime de se demander d’où vient le tsunami financier qui se prépare selon certains. Voici les principales causes de la crise qui pourrait nous frapper avant la fin de l’année.

Des États au surendettement critique

Le premier ferment de la crise financière à venir est la dette faramineuse de très nombreux États. Depuis près d’une décennie, les banques centrales leur prêtent des fonds à des taux d’intérêts extrêmement faibles. Les dirigeants ne se sont donc pas gênés pour y avoir recours, surtout depuis la crise du coronavirus qui a dévasté de très nombreux pays.

L’effet pervers de ce système est que la dette est entrée dans la norme. Les pays s’endettent davantage chaque année pour financer leurs dépenses sans songer à réduire leurs coûts de fonctionnement. Si bien que le déficit de la France, et d’autres grandes nations comme les États-Unis, atteint un niveau abyssal.

Pour corser encore plus les choses, la possibilité pour eux de se refinancer par la création monétaire a été fortement limitée par les différentes autorités de régulation. Le marché de la dette publique se trouve donc dans une situation comparable à la crise des subprimes de 2008, à la différence près que celle-ci concernait l’endettement des ménages.

Dans l’hypothèse où les acteurs qui détiennent les titres de créance des États perçoivent le risque et décident de les vendre en masse, c’est tout le système financier qui serait impacté par un tsunami d’une ampleur sans précédent.

Une dette qui pèse lourd sur les ménages et les entreprises

Les États ne sont pas les seuls à accumuler les dettes. Les entreprises et les particuliers sont loin d’être en reste dans les pays développés et industrialisés. Des crédits accordés d’autant plus facilement qu’ils sont très rentables pour les banques qui les revendent sous forme de produits financiers.

De nombreux investisseurs utilisent également le levier du crédit pour acheter des actifs financiers dans le but de s’enrichir. Un système qui a bien fonctionné jusqu’à aujourd’hui, mais risque d’être mis à mal par la baisse d’activité dans l’économie réelle.

En effet, si une perte de revenus les conduit à devoir vendre en masse pour solder leur dette, cela peut conduire à l’effondrement pur et simple des marchés. Ce scénario concerne tout particulièrement les détendeurs d’actions et autres produits financiers.

Les entreprises, quant à elles, sont fragilisées par leur endettement qui les abaisse leur niveau de résilience en cas de problème. Une baisse de la consommation pourrait être l’étincelle capable de mettre le feu aux poudres, les plaçant dans l’incapacité de rembourser.

Encore une fois, la pandémie covid-19 et le coronavirus ont été des amplificateurs de la dette actuelle.

La finance : des dérives toujours incontrôlables

Malgré les grandes déclarations et les bonnes intentions qui ont suivi le désastre économique de 2008, le secteur de la finance ne semble pas avoir tiré les leçons de ses erreurs. La titrisation d’emprunts toxiques, car accordés à des ménages précaires, et disséminés sur les différents marchés est redevenu une pratique courante.

Avec l’arrivée de l’Internet à très haut débit et du trading à haute fréquence, la course au profit à tout prix reprend de plus belle. Le plus souvent, elle se fait au mépris total des conséquences que ces jeux de chiffres sur un écran peuvent avoir dans l’économie réelle dont le milieu est totalement déconnecté.

Malgré les nombreuses alertes et les protestations, rien ne semble pouvoir arrêter ce cercle infernal. Aucune autorité de contrôle capable d’avoir un réel pouvoir ne permet de réguler ce qui se passe sur les marchés financiers.

Face à cette absence totale de cadre, il semble bien difficile d’imaginer que ceux qui tirent profit du système décident d’eux-mêmes de moraliser leurs pratiques. Aveuglés par leur soif de rentabilité à court terme, ils continueront à entretenir le système jusqu’à ce qu’un séisme économique vienne siffler la fin de la récréation.

Des tensions internationales de plus en plus vives

Au niveau mondial, les relations se tendent entre les grandes puissances, notamment entre l’Amérique de Donald Trump et le géant Chinois. Les deux pays se livrent une guerre commerciale sans merci à base de sanctions financière d’un côté et de dévaluation volontaire pour rester compétitif de l’autre.

Une bataille qui est loin d’être sans conséquence sur les marchés financiers. Les manœuvres de la Maison Blanche qui semble vouloir se lancer dans une course à la dépréciation et la décision de la Chine de ne plus acheter de produits agricoles américains ont conduits à une chute de leurs Bourses respectives.

Compte tenu de l’internationalisation des échanges, cette situation est loin de n’impacter que les pays concernés. Autre sujet de tension : les relations entre les pays du Nord et ceux du Sud. Les seconds acceptent de plus en plus mal ce qu’ils considèrent être la captation de leurs ressources financières par les premiers.

Ce qui pourrait changer

Deux scénarios s’affrontent sur les conséquences possibles d’une crise financière en 2020 et 2021. Le premier, largement relayé sur la toile, est l’objet de tous les fantasmes et de toutes les craintes. Le second est plus insidieux, car moins spectaculaire, mais tout aussi préoccupant.

Le scénario catastrophe

Il s’agit de la thèse préférée des survivalistes. Un scénario digne d’un film comme Le jour d’après ou Hunger Games.

Dans cette version de l’histoire, le tsunami financier est si violent qu’il ravage tout sur son passage. Les banques font faillite les unes après les autres. Les gouvernements ne parviennent pas à les maintenir à flots. Les épargnants se bâtent devant les distributeurs pour espérer sauver une partie de leurs deniers, pendant que d’autres se ruent dans les supermarchés.

Petit à petit, la société s’effondre. Les rayons des magasins sont vides. Les moyens de paiement traditionnels n’ont plus cours. Les hôpitaux ferment leurs portes, suivis par les casernes de pompiers et les commissariats. La fourniture d’électricité et d’eau potable est interrompue.

Au bout de quelques jours, les premières exactions commencent. Le peuple affamé se rue dans les commerces désaffectés, saccageant tout sur son passage. Les maisons des supposés riches sont pillées. Dans les rues ravagées, des femmes troquent leurs charmes contre un peu de nourriture pour survivre. La ville n’est plus qu’une immense jungle où règne la loi du plus fort.

Si ce tableau a de quoi donner des cauchemars, il est peu probable qu’il se concrétise. Même les pays européens les plus durement touchés par la crise de 2008 ont réussi à éviter la catastrophe. Il est donc inutile de remplir vos placards de boîte de conserve ou d’investir dans un fusil de chasse.

Le scénario le plus probable

L’autre possibilité ne ressemble pas à un scénario de crise vue de loin. Les banques sont toujours là. Les pompiers et les hôpitaux aussi. Les enfants continuent de se rendre à l’école chaque matin et les rayons des supermarchés sont toujours bien garnis.

Mais, en y regardant de plus près, les choses ne sont pas tout à fait comme avant. Pour tenter de redresser la barre, les États ont entamé une politique d’austérité sans précédent.

Les aides sociales ont disparu, ou se réduisent à peau de chagrin. Tous les services publics comme l’école, les hôpitaux ou les transports ont été entièrement privatisés et sont donc devenus hors de prix.

La fermeture de nombreuses entreprises a entraîné un chômage de masse et une explosion de la population précaire. Les allocations chômage sont presque inexistantes. Se loger devient de plus en plus compliqué et des familles entières se retrouvent à la rue faute de pouvoir payer leur emprunt ou leur loyer.

Cette situation ressemble à ce qu’ont connu des pays comme l’Espagne ou la Grèce lors du krak de 2008. Il n’est pas improbable qu’un pays comme la France puisse s’y retrouver confronté.
Quelques conseils pour se préparer

Qui dit crise financière dit préparation pour éviter le pire. Les recommandations ci-dessous sont avant tout des conseils de bon sens validés par des professionnels de la finance. Elles n’expriment qu’un avis et ne sauraient avoir valeur de prescription.

Faut-il continuer d’investir en Bourse ?

Étant donné que la finance portera une grande part de la responsabilité du séisme économique qui s’annonce, il est légitime de se demander s’il faut continuer d’acheter des actions.

Compte tenu de la conjoncture actuelle, il est plus sage d’appliquer le principe de précaution en vous abstenant d’acheter de nouveaux titres. D’autant que les prix sont artificiellement élevés.

N’allez pas pour autant en déduire qu’il faut vendre toutes les actions que vous possédez. Si vos titres ont pris de la valeur, conservez quelques valeurs sûres et empochez votre bénéfice en vendant les autres.

Crise financière et investissement immobilier

La question de l’investissement immobilier en temps de crise est la seconde question qui préoccupe ceux qui souhaitent placer leur épargne. S’il est peu probable que la pierre connaisse une crise majeure, ce n’est pas le meilleur moment pour vous lancer dans un achat, surtout si vous comptez le réaliser à crédit.

Comme nous l’avons expliqué plus haut, le système bancaire est plus fragile que jamais. Souscrire un emprunt immobilier représente un risque qu’il n’est pas prudent de courir dans cette période d’incertitude. Si vous projetez de vendre un bien, au contraire, ne tardez pas.

Faut-il acheter de l’or ?

L’or est une valeur refuge en cas de crise. Nombreux sont ceux qui sont tentés de sécuriser leur argent en achetant le précieux métal, espérant profiter d’une hausse de son cours au passage.

Acheter un peu d’or peut être une bonne idée, mais gardez-vous d’y placer toute votre épargne. Souvenez-vous que les métaux précieux sont taxés à la vente comme à l’achat, et qu’ils sont peu liquides. Il n’est pas recommandé de posséder plus de 10 % de votre capital sous cette forme.

Pour jouer la sécurité, préférez plutôt le cash qui reste la seule valeur sûre. Avoir 30 %, au moins, de vos avoirs immédiatement disponibles sous cette forme est une preuve de bon sens. Si vous avez des comptes à terme qui arrivent à échéance dans 1 an, ou moins, conservez-les et récupérez votre mise ensuite. Si cette stratégie ne vous fait pas gagner d’argent, elle vous évite au moins d’en perdre.

Amortir les conséquences du séisme au quotidien

Si elle survient, la crise qui s’annonce n’aura pas des conséquences que sur votre épargne. Pour minimiser son impact sur votre quotidien, voici quelques conseil utiles.

Tâchez de solder vos emprunts si vous avez contracté des crédits, en particulier ceux à la consommation. Faites en sorte de réduire votre train de vie afin de pouvoir épargner davantage. Si votre état de santé nécessite des soins, faites-les sans attendre.

Spécialisez-vous dans votre domaine professionnel. Faites en sorte d’acquérir des compétences recherchées qui pourront faire la différence. En cas de réduction d’effectif dans votre entreprise, vous avez plus de chance de garder votre poste, ou de pouvoir évoluer. Pensez aussi à envisager des sources de revenus alternatives qui vous aideront à vous retourner en cas de chômage. Les opportunités sont nombreuses si vous savez faire preuve d’ingéniosité.

D’après de nombreux experts du monde de la finance, tous les signaux qui annoncent une crise économique de grande ampleur sont à l’orange vif. En cause, le recours abusif à l’emprunt, les dérives des marchés financiers, mais aussi les tensions internationales. Ce tsunami pourrait bien être d’une violence supérieure à celui de 2008, avec pour conséquence une faillite des États et appauvrissement général de la population.

Toutefois, il est bon de rappeler que rien ne permet d’être absolument certain que ce désastre économique aura bien lieu. L’heure n’est donc pas à la panique, mais simplement à la prudence. Fiez-vous à des conseils relevant du bon sens et gardez la tête froide.

Catégorie(s) : Bourse Étiqueté : crise économique, crise économique 2020, crise économique 2021, crise économique coronavirus, dépression économique, récession économique

9 choses que les pauvres font que les riches ne font pas

avril 14, 2020 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

choses-que-les-riches-fontLes gens ne deviennent pas riches par accident.

Ils deviennent riches, car ils font les bons choix et suivent de bonnes habitudes.

Alors, dans cet article, tordons le cou à un canard… être pauvre n’est pas une fatalité.

Beaucoup de milliardaires, d’ailleurs, sont partis de rien.

Ils n’ont pas eu spécialement de chance, mais ont su saisir les bonnes opportunités.

Voyons en détail 9 choses que les pauvres font que les riches ne font pas et qui, au final, font toute la différence.

Vendre du temps

Vendre du temps, c’est perdre de l’argent

Les pauvres se vendent au tarif horaire. En dehors du fait de mal calculer son tarif, cette manière de pratiquer pose directement des barrières. En effet, quoi que vous fassiez, les journées n’auront jamais plus de 24 heures, donc vous ne pourrez jamais augmenter votre temps de travail. Par conséquent, même si vous passez un meilleur tarif horaire, votre capacité de gain sera toujours bloquée par le facteur temps.

Les riches vendent de14s résultats

A contrario, les riches vendent des résultats. Ils ne sont donc pas rémunérés sur le temps passé au travail, mais sur l’importance des résultats. En améliorant leurs process, ils sont capables d’obtenir bien plus d’argent. En effet, les actions leur prennent moins de temps, mais rapportent de meilleurs résultats. Le client est content et paie en conséquence.

Les revenus passifs… une affaire de riche

Pour augmenter leur richesse, les riches comptent également sur les revenus passifs. Au contraire des pauvres qui dépensent généralement leur argent pour des biens, les riches le dépensent pour des investissements. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Au bout du compte, l’argent s’accumule et la richesse s’installe sur le long terme.

Travailler tard et/ou dormir tard

Le manque de sommeil fait perdre de la productivité

Les gens pauvres ont la détestable habitude de se coucher tard. Qu’il s’agisse de regarder la télé, de festoyer ou de travailler à des dossiers en retard, ils se privent d’une partie de leurs heures de récupération. La fatigue s’accumule au fil des jours et les performances baissent… demandant ainsi de nouvelles privations de sommeil. C’est encore plus vrai lorsque, par compensation, les pauvres commencent à se shooter au café. Celui-ci épuise les réserves et le corps fini plus fatigué qu’avant.

L’argent appartient à ceux qui se lèvent tôt

Les pauvres sont plus enclins que les riches à faire la grasse matinée. Si cela est sans doute partiellement dû à leur habitude de veiller tard, cela n’explique pas tout. En effet, en laissant passer les plus belles heures de la matinée, il garde leur corps et leur esprit dans le brouillard et ils passent à côté des plus belles opportunités.

Les heures matinales pour accroitre sa productivité

Si l’on en croit Hal Erold, l’auteur du Miracle Morning, tout se passe avant 8 heures. Il prétend que les hommes riches se lèvent plusieurs heures à l’avance afin d’avoir du temps à consacrer à des activités qui leur font du bien. En développant ainsi leur bien-être, ils deviennent plus productifs. Les nombreux témoignages positifs semblent lui donner raison.

Penser au lieu d’agir

La procrastination au service de la pauvreté

La procrastination est la tendance à tout remettre au lendemain. Omniprésente chez les pauvres, elle est pour ainsi dire totalement absente chez les riches. Et pour cause, faire directement les actions qui prennent moins d’une minute vous fait, au final, gagner une heure. Alors, pensez-y la prochaine fois que vous jetez votre courrier sur la table.

Action-réaction, un crédo de progression

Les riches vivent dans l’action. Nul besoin pour eux tâtonner à tort et à travers sans jamais rien faire. Ils conçoivent et ils agissent. Rester à espérer n’a jamais enrichi son homme.

La pensée ne rapporte pas

La plupart des pauvres ont plein de projets. Oui, mais voilà, ils gardent leurs projets dans un coin de leur tête et ils ne font jamais rien. Pas le temps, pas prêt, pas… toutes les excuses sont bonnes. Les riches, quant à eux, se lancent. Mieux vaut un projet moyen qui voit le jour qu’un projet parfait qui reste dans les cartons.

Regarder la télévision

Les heures passées devant la télévision ne nourrissent pas

Des études sérieuses démontrent que les pauvres passent en moyenne 6 heures devant le petit écran. A contrario, les riches y consacrent moins d’une heure par jour. En effet, peu de programmes de télévision sont véritablement enrichissants et ils n’amènent, dans tous les cas, quasiment aucune valeur ajoutée.

Les émissions de télé-réalité abrutissent

92 % des téléspectateurs des émissions de télé-réalité sont en dessous du salaire moyen. En effet, toutes ces émissions débiles n’apportent rien comme enrichissement personnel. Certains spécialistes tendent même à dire que les enfants et les adolescents qui suivent ce type d’émission perdent en intelligence.

Seuls les documentaires enrichissent

Toujours selon les spécialistes, les seules émissions de télévision regardées par les riches sont les documentaires et les émissions politiques ou d’actualité. Ces émissions permettent en effet de se tenir au courant des mouvements géopolitiques et économiques qui peuvent influer sur les marchés. De même, les documentaires amènent des connaissances supplémentaires. Les pauvres, au contraire, ne regardent quasiment jamais ce type d’émission.

Prendre de mauvaises habitudes alimentaires

La junkfood réduit les performances

La junkfood se caractérise par un déséquilibre nutritionnel important. Dès lors, elle provoque des carences. Les déficits en vitamines et en minéraux se ressentent rapidement, notamment au niveau des performances intellectuelles et physiques. La consommation excessive de nourriture déséquilibrée réduit donc les capacités de travail. Malheureusement, ce sont principalement les pauvres qui abusent de ce type d’alimentation.

Les aliments transformés sont plus chers

Les riches privilégient les aliments bruts. Si certains disent que ce choix est dicté par une plus grande disponibilité temporelle, ils ont tort. En effet, si les riches privilégient les aliments bruts, c’est simplement parce qu’ils sont moins chers. En effet, en comparant les prix au kilo, vous remarquerez que les fruits et légumes sont bien moins chers que les bonbons, chewing-gum et autres sodas toxiques.

Un esprit sain et un corps sain

Les habitudes alimentaires sont bien souvent révélatrices de l’hygiène de vie. En mangeant mal, les pauvres diminuent autant leurs capacités mentales que leur capacité physique. Or, il est prouvé que les riches font bien plus de sports que les pauvres. Pourtant, il n’y a pas besoin de posséder beaucoup d’argent pour aller marcher ou courir dans la rue.

Se satisfaire de leurs connaissances

Rien n’est jamais acquis

La différence d’habitudes et de comportement entre les pauvres et les riches se voient déjà lors des études. En effet, les pauvres ont tendance à étudier leurs examens à la dernière minute et surtout à ne jamais réviser leurs acquis. A contrario, les riches ne considèrent jamais rien comme véritablement acquis et s’astreignent toujours à faire mieux.

La formation continue, clef de la réussite

Parmi les choses que les pauvres font le plus souvent, c’est se limiter à une seule formation qui peut être le plus préjudiciable. En effet, quand ils obtiennent leur diplôme, ils estiment que tout est acquis. Au contraire, les gens riches se forment tout au long de la vie. Ils sont ainsi bien plus au courant des dernières technologies et des dernières techniques propres à leur métier.

Élargir ses connaissances

En dehors de la formation continue en relation avec leurs études, les riches ont également tendance à élargir leur point de vue. En effet, pour performer dans un marché, ils apprennent à connaître les thématiques adjacentes au leur. Ils ont ainsi un point de vue bien plus large et bien plus affûté pour comprendre et appliquer les techniques les plus adéquates.

Être radin en temps et en argent

Le bénévolat vous rend riche

Alors que les pauvres tendent à rester dans leur coin, les riches sont des adeptes du bénévolat. D’aucuns vous diront que bien évidemment ils ont le temps et les moyens de le faire. Cependant, force est de constater que les riches ont commencé le bénévolat bien avant d’atteindre la richesse. En effet, la richesse financière est bien souvent similaire à la richesse intérieure et sociale.

Prendre le temps d’aimer les autres

La majorité des pauvres se trouve bien trop occupée que pour penser aux autres. Ils passent leur temps à se plaindre et à se débattre dans des habitudes qui ne sont pas forcément pertinentes. S’ils passaient autant de temps à s’intéresser aux autres qu’à eux-mêmes, ils verraient à quel point il passe à côté d’une grande richesse. En effet, seulement 6 % des pauvres pensent à souhaiter un joyeux anniversaire à leurs connaissances.

Donner pour mieux recevoir

La majorité des pauvres sont égoïstes et avares. En raison de leurs faibles revenus, ils pensent ne pas être en mesure de donner. C’est une grave erreur. En effet, les gens les plus riches de la planète sont également extrêmement généreux. À l’image de Bill Gates, de Warren Buffet ou encore de JK Rawling, donner est une manière de mieux recevoir.

Laisser les livres de côté

Apprendre tout au long de sa vie

Les études démontrent également que les riches sont des lecteurs plus assidus. Au lieu de regarder la télévision, comme le font la majorité des pauvres, les riches lisent des livres. Ils cherchent ainsi à parfaire leurs connaissances et à ouvrir leurs horizons mentaux.

Se laisser guider par des mentors

Si les lectures des riches peuvent autant les aider à progresser dans la vie, c’est parce qu’ils s’intéressent à des théories nouvelles. Ils se servent des livres pour découvrir de nouveaux mentors. Ils suivent alors de nouvelles méthodes pour progresser dans la vie et surtout pour devenir une meilleure version d’eux-mêmes. A contrario, les pauvres sont bien souvent des lecteurs de magazines ou de bandes dessinées.

Ressourcer son moi intérieur

En s’ouvrant à de nouveaux horizons, les riches se servent de la lecture pour ressourcer leur moi intérieur. Cela leur permet de faire une cassure avec leur quotidien et de laisser leurs préoccupations de côté. A contrario, les pauvres restent systématiquement enfermés dans leurs ennuis, leurs regrets et leurs jalousies.

Naviguer à vue

Avoir des objectifs à atteindre

Les pauvres ont généralement peu d’objectifs tangibles dans la vie. Ils se laissent porter au gré du vent et avancent un peu dans toutes les directions. A contrario, les riches définissent des objectifs précis à atteindre. Ils ont également l’habitude de placer des délais pour être sûrs de ne pas laisser des situations s’enraciner.

Faire des listes

Les pauvres manquent souvent d’organisation. Cela se traduit dans toutes les sphères de la vie. À l’opposé, les riches sont bien souvent des obsédés des listes. Que ce soit pour faire les courses au supermarché, pour gérer les tâches de la journée, pour faire les prochaines valises des vacances ou simplement pour prévoir l’organisation scolaire des enfants, tout est listé, classifié et priorisé.

Savoir mettre des priorités pour avancer

La priorisation est la grande force des riches. Les pauvres ont sans cesse l’impression qu’il faut tout faire, de préférence en même temps, pour arriver à un résultat. Au bout du compte, ils brassent du vent, s’agitent, s’épuisent et finissent par ne quasiment rien faire. De l’autre côté, les riches prévoient des programmes précis dans lesquels les diverses tâches sont classées par ordre d’importance. Ils font donc d’abord ce qui compte vraiment.

Contrairement aux idées reçues, très peu de personnes riches sont nées avec une cuillère en argent dans la bouche. Beaucoup de milliardaires ont commencé en ne partant de rien. S’ils ont parfois bénéficié d’un facteur chance, ils sont avant tout parvenus à prendre de bonnes habitudes de vie. Ils évitent de perdre leur temps dans des choses inutiles, ils veillent à garder une bonne hygiène de vie et surtout ils sont organisés et capables de saisir les opportunités. La richesse n’est donc pas l’œuvre du gros lot du loto, mais celle d’une ténacité et d’une clairvoyance de tous les instants.

Catégorie(s) : Devenir riche Étiqueté : chose que les riches font, choses que les pauvres font

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Qui suis-je ?

Sylvain Wealth Argentwebmarketing

Mon nom est Sylvain, et j'ai 35 ans. Je suis entrepreneur et investisseur depuis déjà une dizaine d'années. J'ai démarré ma conquête vers la liberté financière dès mon tout jeune âge. Ça remonte à l'époque où j'étais encore sur les bancs d'école et que j'occupais de petits boulots mal payés.

Suite à un surendettement et une perte d'emploi, je me suis promis de ne plus jamais revivre un situation aussi frustrante et stressante. C'est aussi à partir de ce moment que j'ai commencé à étudier le monde des finances à travers des livres, des formations et même des études universitaires.

Depuis lors, les choses ont commencé à changer positivement pour moi. Avant l'âge de 30 ans, j'ai atteint la liberté financière. Aujourd'hui, je n'ai aucune dette. Mieux, j'ai réussi à me bâtir un patrimoine financier. J'entreprends et j'investis dans des domaines variés.

Au travers de ce site, je partage des stratégies pour aider mes lecteurs à devenir plus libre financièrement. J'offre également des formations plus approfondies sur le sujet pour vous permettre d'atteindre l'indépendance financièrement. Vous pouvez découvrir tous mes programmes avancés en cliquant ici !

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