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L'effet de levier immobilier : tout comprendre sur ce mécanisme !

octobre 1, 2018 par swealth Laisser un commentaire

effet de levier immobilierLa majorité des investissements ont l’avantage de pouvoir se faire en parallèle avec son travail tout en profitant d’un effet de levier financer.
Il suffit d’utiliser son temps libre pour gérer ces autres activités.
Le but est précisément de bénéficier de revenus supplémentaires, ces derniers pouvant néanmoins dépasser de loin le salaire principal et mener plus rapidement à la richesse.
Il s’agit d’un travail sur le long terme, qui exige une bonne connaissance du secteur dans lequel on s’embarque, une implication sérieuse, car de l’argent est en jeu, et surtout de la persévérance.
L’effet de levier immobilier fait partie des moyens fréquemment utilisés pour booster son investissement, et ainsi gagner rapidement beaucoup d’argent et devenir riches.
Le mécanisme peut évidemment s’appliquer dans l’immobilier, mais pas juste.
Que vous alliez acheter du neuf ou des biens à rénover avant de les mettre en location, vous pouvez toujours recourir à cette méthode, connue pour être rapide en retour d’investissement.
Cet investissement vous génèrera des revenus réguliers, et les biens immobiliers viendront s’ajouter à votre patrimoine si vous les gardez. Vous pouvez également les vendre après dans le but de vous faire des plus-values intéressantes.
Il est néanmoins toujours de mise de faire attention puisqu’une mauvaise utilisation de ce système peut mener aussi à la faillite en un rien de temps, dès que quelque chose aura mal tourné. L’idéal est de bien comprendre un système avant de s’y engager. Et pour ceux qui ne le connaissent pas encore, l’effet de levier mérite qu’on s’y intéresse davantage si vos buts comprennent la création massive de revenus. Pour cela, vous êtes invité à lire attentivement les explications contenues dans cet article.

Définition

L’effet de levier immobilier consiste en une phrase à emprunter de l’argent à la banque pour acheter un ou des biens immobiliers et tenter de gagner un rendement qui dépassera largement le coût de l’emprunt. L’essentiel est que votre apport soit augmenté et en même temps votre capacité d’investissement. La différence par rapport au système d’investissement classique tourne principalement autour des intérêts composés. Les gens qui le font achètent au moins un lot de terres, de parking, d’appartements ou autres, au lieu de se suffire à un seul achat d’une unité.

Pourquoi les banques acceptent-elles d’accorder du crédit immobilier ?

Les banques sont plutôt favorables quand il s’agit d’immobilier, par rapport à d’autres types d’investissement, car celui-ci est plus sûr. En effet, le besoin de se loger est vital pour tout le monde, c’est pourquoi les demandes ne risquent pas de diminuer de sitôt. Déjà, la population mondiale ne cesse d’augmenter, mais en plus, le monde bouge sans cesse, avec un bon nombre de gens qui déménagent au moins une fois dans leur vie d’un pays à l’autre, d’une ville à une autre, ou même d’un quartier à un autre pour des raisons variées. Les touristes, les étudiants, les retraités, les familles cherchant l’endroit qui devrait mieux convenir à l’éducation des enfants, ainsi que les travailleurs en quête d’une meilleure perspective de carrière, sont les plus actifs dans ces mouvements.

Comment faire ?

La majorité pense qu’en investissant un gros capital, on gagne plus qu’avec un petit. Ils n’ont pas tort, même si de l’autre côté les risques sont accentués. Or, tout le monde ne dispose pas d’argent cash pour se payer de tels projets. Les banques sont alors les meilleurs recours. Dans ce cas, il est primordial de bien choisir dans quoi on s’embarque, au risque de tout perdre, car ce sera alors très difficile de rembourser l’emprunt.
Prenons le cas d’un appartement, qui serait vendu à 45 000 € tous frais payés, et qu’un propriétaire paie de ses fonds propres. En un an, disons qu’il pourrait rentabiliser un cash-flow de 4 000 € à son propriétaire, en calculant le total du loyer auquel on soustrait les charges durant cette période. Ensuite, sa valeur va peut-être augmenter de 5%, ce qui donne 2 250 €. En tout, le cash-flow et la plus-value totalisent 6 250 €. Cette valeur équivaut à environ 14 % du prix d’achat initial, soit la rentabilité du projet. Il faut bien distinguer que ce dernier taux correspond à la rentabilité financière proprement dite alors que les 4 000 €, soit environ 9 %, concerne le rendement locatif annuel.
D’un autre côté, prenons le même propriétaire, qui au lieu de se satisfaire de cette perspective décide de souscrire à un crédit de 135 000 € à la banque. Il se sert ici de l’effet de levier du crédit pour pouvoir s’acheter 3 appartements au lieu d’un, au prix de 180 000 € l’ensemble. Son apport est donc de 25 %. Son cash-flow va tripler, soit 12 000 €, si on considère qu’il les loue au même prix que dans le premier cas. Et pour une même appréciation de valeur annuelle de 5%, la plus-value va faire 9000 €. La différence est qu’il doit amortir son emprunt, que nous évaluerons à 8100 € par an. Son retour sur investissement devient alors 21 000 € (12 000 € – 8 100 € + 9 000 €). Cette somme équivaut à 42 % du 50 000 € d’investissement initial.
Cet exemple simplifié démontre combien le retour d’investissement peut être largement profitable par rapport à l’investissement sans effet de levier. Dans la réalité, d’autres paramètres, à l’exemple des impôts, viendront modifier ces valeurs. Et il est possible de toujours améliorer ces dernières pour une même somme investie en réduisant au minimum son apport et en augmentant alors l’emprunt.
Toutefois, ce cas est plus complexe, car les banques passent les dossiers à de nombreux tests d’éligibilité avant d’accorder un crédit largement plus important que son apport. Il est néanmoins vrai que ce n’est pas impossible d’avoir jusqu’à 100 % de crédit, mais uniquement en crédit immobilier. Tout dépend du banquier qui, dans ce genre de dossier, étudie en grande partie les situations personnelles au cas par cas. Vous devez de votre part être clair dans votre objectif, que ce soit pour un intérêt patrimonial, pour une multiplication d’un capital ou autre. Si votre emprunt est accordé, le rendement financier est alors plus prometteur que jamais.

L’implication des intérêts composés

Dans bon nombre d’investissements, le capital est augmenté par les intérêts, particulièrement pour les placements bancaires. Les intérêts composés consistent à la réutilisation de ces intérêts pour le prochain exercice au lieu de les retirer pour les utiliser à d’autres fins. Ce qui fait que le capital augmente, mais n’est plus ce qu’il était l’année précédente. Le rendement va augmenter en même que lui, et c’est précisément le but.
Le principe est le même pour l’effet de levier immobilier. Le capital d’investissement, auquel on a déjà ajouté l’emprunt, va être boosté dès l’année suivante par l’augmentation annuelle de valeurs des appartements ou immeubles achetés. Les intérêts composés ainsi obtenus feront votre force alors que l’emprunt a été effectué avec un intérêt simple.

Que risque-t-on avec l’effet de levier ?

Vous devez vous douter qu’une telle entreprise n’est pas sans désavantages. En effet, plus on augmente l’emprunt, plus on agrandit le risque financier. Le fait est que les événements malencontreux sont souvent imprévisibles et peuvent tomber n’importe quand sur n’importe qui. De nombreux facteurs extérieurs peuvent en être la cause, notamment un revirement de la politique économique, un changement sur le marché dû à des variations dans les offres ou les demandes, etc. Néanmoins, le secteur immobilier est connu pour être plus stable que d’autres.
Prenons notamment le cas de la bourse : une fois que les dés sont lancés, plus de possibilités de faire des ajustements, soit on perd, soit on gagne. Il y a autant de risques de perte totale que de chance de se faire des bénéfices. Parfois, on ne fait que retrouver le capital et parfois on gagne très peu. Les risques dans le secteur de l’immobilier peuvent toujours être amortis, car la politique économique et donc les lois relatives ne changent pas du jour au lendemain. Une bonne connaissance générale de ce milieu d’investissement vous aidera à prendre des décisions, tant dans le choix de la zone géographique que dans les critères par rapport au bien lui-même. Préparez néanmoins des plans de sortie en cas de crise, dans le but de minimiser les pertes.
Les problèmes qui peuvent toutefois faire pâtir votre investissement, c’est une vacance prolongée et fréquente de locataire ou un problème de paiement de loyer. Vous serez à même de réduire ces risques si vous vous appliquez convenablement dans la gestion locative et êtes strict dans les clauses du contrat et son application. Songez également à rester modéré sur le loyer afin de pouvoir battre la concurrence.
Vous devez également prévoir le coût des réparations, un risque qui peut être contrôlé en partie dès l’achat. Vous devez en effet être pertinent dans vos choix si vous investissez dans l’ancien. Assurez-vous bien lors des visites, avec l’aide d’un professionnel, de construire la liste complète des réparations et rénovations à faire. Évaluez correctement leur coût pour éviter les mauvaises surprises. Il reste alors les catastrophes naturelles ou les accidents domestiques pouvant altérer l’immeuble, qui ne sauront être imprévisibles.

Catégorie(s) : Immobilier, Investissement Étiqueté : effet de levier, levier immobilier

Où placer 1000 euros ? Quelques idées d'investissements…

août 6, 2018 par swealth Laisser un commentaire

ou placer 1000 eurosDe nos jours, beaucoup de personnes se demandent où placer 1000 euros pour le faire fructifier de manière profitable.
En effet, un bon pourcentage de la population est enclin à économiser cette somme et il est sage de penser à l’investir plutôt que de les dépenser dans des biens matériels qui lassent vite.
Le but est de préparer d’ores et déjà des projets d’avenir, d’avoir quelque chose sous la main pour les imprévus, ou de viser une plus grande qualité de vie.
Il existe de nombreux moyens d’y parvenir, selon les budgets de chacun, et son profil type.
Évidemment, tout le monde n’est pas pareil : certains vont privilégier les investissements qui génèrent des résultats à court terme, d’autres préféreront le contraire. Les uns peuvent avoir envie de se constituer du cash, d’autres un patrimoine.
Aussi, les choix vont dépendre du goût au risque et des caractères de tout un chacun.
Si vous voulez devenir riche, sachez que ce ne sera pas pour aujourd’hui, surtout si vous investissez une petite somme.
En effet, 1000 euros n’est pas encore beaucoup pour vous permettre l’accès à tous les types d’investissement. Pourtant, vous pourrez, avec de la persévérance, le faire fructifier doucement, mais sûrement, une fois que vous lui aurez trouvé un bon filon. Retrouvez dans cet article quelques-uns de vos possibilités.

Le livret A et l’assurance-vie

Le livret A est souvent ce qui vient la première fois à l’esprit dès qu’on parle de placement d’argent. Ce placement rapporte peu, mais on le préfère à d’autres pour la sécurité de l’argent, avec un taux de 0,75 % environ.
C’est effectivement la meilleure solution pour ceux qui ne sont pas prêts de risquer leur argent. Si vous voulez pourtant faire des bénéfices plus intéressants, mieux vaut explorer d’autres secteurs. Le taux ne cesse d’ailleurs de descendre. L’assurance-vie est plus stable et les fonds qui lui servent de multi supports le rendent plus attractifs.

La bourse

La bourse est une option d’investissement attractive, qui nécessite néanmoins de vastes connaissances et exige un certain dynamisme, car le rouage est complexe et en perpétuel mouvement. Le risque est toutefois considérable à cause de ces changements qui peuvent survenir à tout instant.
Les principales clés d’un investissement dans la bourse, c’est la diversification du portefeuille et un travail à temps plein. Il faut surveiller sans arrêt la situation des entreprises dans lesquelles vous avez misé, le marché en général, ainsi que toutes les informations économiques et financières des pays où se trouvent ces sociétés.
Même si vous faites appel à un coursier commissionnaire qui vous fera des suggestions, vous serez toujours le maître de vos décisions, c’est pourquoi il est essentiel de se mettre au parfum de la situation.
N’oubliez pas qu’il y a également d’un côté les frais de courtage prélevés par les banques. En bourse, il est également possible de faire du copy trading sur des grands qui semblent réussir dans ses choix. De nombreuses plateformes en ligne vous permettent de faire la copie en quelques clics. Vos chances vont sensiblement augmenter sans pour autant réduire de manière considérable les risques. Quand il est question de plateforme, il faut toujours faire des comparaisons et des analyses afin d’éviter les arnaqueurs. Toutefois, mieux vaudra toujours décider seul de son argent pour ne rien regretter.
Il existe plusieurs types de marchés, soit autant de produits accessibles à partir de ce budget dans la bourse, dont le Forex, les parts d’ OPCVM (Organisme de Placement Collection de Valeurs Mobilières), le SRD, les turbots, les warrants, les options binaires, les titres de sociétés ou encore les obligations. Chacun de ces produits a ses propres avantages et inconvénients, leur point comme étant les risques. Leurs degrés sont toutefois relatifs aux produits.
Une obligation ne peut notamment vous entraîner de perte si vous le conservez depuis son émission à la fermeture. Les risques ont lieu si on la revend avant cette échéance, relativement au cours de la devise concernée sur le marché. Et évidemment, vous perdez les intérêts courants.
C’est là qu’intervient la diversification des placements, afin de pallier les pertes dans certains produits avec les gains obtenus grâce aux autres. Tout ce qui est action est volatile, notamment les types warrants. Le risque augmente dans ces cas. Quel que soit le cas, n’investissez en bourse que l’argent dont vous n’aurez pas besoin dans l’immédiat. Il faut également faire attention à l’effet de levier qui peut également être fatal à votre investissement.
Il est vivement conseillé de commencer par s’entraîner avec un portefeuille virtuel, car les risques dans ce domaine ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus que les pertes sont irréversibles. Placer 1000 euros en bourse sans avoir aucune connaissance, c’est un peu comme jouer au poker dans un casino.
On peut décider à tout moment de vendre ou d’acheter des titres, ou encore d’ouvrir ou de clôturer une position. Certains paramètres peuvent également rester imprévisibles, spéculer c’est tout ce qu’on peut faire.
Quoi qu’il en soit, ce type de placement fait partie de ceux qui permettent de disposer à tout moment des liquidités disponibles, contrairement à d’autres investissements qui exigent un délai. Avec 1000 euros à placer, vous pouvez embarquer, mais à condition de travailler durement pour espérer que l’argent ne parte pas rapidement en fumée, surtout que vous ne pourrez pas encore diversifier votre portefeuille.
Les PEA (Plan d’Épargne en Actions) sont aussi des placements, qui profitent des avantages de la bourse. Mais en plus, les dividendes et les plus-values sont exonérés d’impôts 5 ans de suite. Sur le long terme, vous pourrez vous faire des profits concluants avec les 1000 € de départ.

L’immobilier

Le financement participatif est ouvert à tous en immobilier. C’est pourquoi ce domaine est accessible dès 100 euros grâce notamment aux OPCI. Avec 1000 euros, vous pouvez déjà prendre de plus grandes parts dans ce secteur ou envisager de participer à une SCPI. Cette dernière est plutôt difficile à trouver avec ce montant, mais cela ne veut pas dire que c’est impossible. Une SCPI peut pourtant vous donner jusqu’à 6 % de rendement dans le meilleur des cas. Et le minimum ne va jamais plus bas que les 3 %.
Pour une OPCI, ce rendement est légèrement inférieur, avoisinant les 2,5 %. Dans les deux cas, vous pouvez choisir de souscrire à une assurance-vie pour intégrer le collectif.
Les avantages d’une OPCI, par contre, c’est qu’il y a plus de liquidités disponibles, de l’ordre de 10 %, et que les risques de l’investissement sont mutualisés. Seulement une partie du capital va dans l’immobilier, entre 60 à 90 %. Le reste va dans des valeurs mobilières, par exemple dans des actions.
Ainsi, vous pouvez commencer dans la pierre papier sans vous endetter, car vous n’aurez pas besoin de faire un emprunt. C’est rendu possible à cause la difficulté des promoteurs à obtenir de la banque les fonds nécessaires. Il existe plusieurs autres types de financement de la pierre par les particuliers, vous permettant toujours de commencer avec cette somme-là.
Il s’agit souvent de financer un grand projet immobilier, consistant à l’achat de terrain, suivi de construction d’appartements qui seront à vendre. L’argent résultant va permettre au prometteur de vous rembourser et de faire des bénéfices. Là aussi, il y a un risque d’échec. Pourtant, dans la majeure partie des cas, vous récupérez la totalité de votre argent, sauf si les dépenses n’ont pas été maîtrisées puisque tout ne se passe pas comme prévu sur le chantier, ou après, pendant la vente.
Les problèmes qui peuvent arriver sont les retards dans les travaux, les malfaçons et autres vis, les appartements qui ne se vendent pas. Cela entraînera toujours des coûts supplémentaires. Dans ce dernier cas, ce sera la faillite assurée et vous pouvez alors dire adieu à votre fonds d’investissement. Autrement, vous regagnerez votre capital et en tirerez un intérêt à percevoir si le projet voit le jour. Cet intérêt avoisine les 8% à 10% et le délai tourne autour de 3 ans. Il s’agit donc d’un investissement à moyen terme.
Vos 1000 € conviendront alors très bien pour un début dans le secteur. Quoi qu’il en soit, ne prenez pas les offres de quelconques promoteurs, orientez-vous vers les plus aguerris. Étudiez bien leurs offres pour voir si les produits finaux seront vraiment intéressants, autant pour garantir sa solvabilité.

Démarrer son entreprise

Avec 1000 euros, on peut déjà lancer soi-même sa petite affaire. Les chemins à prendre dépendent de l’ambition et des visions de chacun. Sur internet, particulièrement, vous avez déjà de nombreuses possibilités autour des ventes en ligne.
Avec ces 1000 euros, vous pourrez notamment créer votre boutique en ligne pour vendre vos produits, quels qu’ils soient, sinon pour revendre ceux d’un autre fournisseur. Vous avez la possibilité de collaborer avec lui par un drop-shipping. Ce concept récent et avantageux vous permet de ne pas avoir à gérer ni stock ni livraison, vous vous contenterez de vendre et de percevoir des commissions sur cette dernière.
Si vous avez une passion qui vous enthousiasme particulièrement, vous pourrez sûrement l’exploiter de manière lucrative. Avec ces 1000 euros, vous ferez mieux d’acheter le matériel nécessaire à son exercice. Pour vendre ensuite vos œuvres, vous avez internet. C’est le moyen le plus rapide de nos jours et où l’on est plus libre. Créez-vous un site web pour présenter vos produits, ou pourquoi pas votre boutique en ligne avec le reste de l’argent. Un coup de pouce sur les réseaux sociaux et votre business va démarrer pour de bon.
Vous pouvez également vous en sortir en optant pour une franchise. Dans certains cas, aucun apport n’est exigé. À vous alors de faire votre choix puisqu’il en existe des centaines et des milliers de propositions, concernant presque tous les secteurs, notamment l’agroalimentaire et les entreprises de service.
Si le goût de l’entrepreneuriat est vraiment en vous, n’hésitez pas à chercher des idées qui pourront être révolutionnaires dans notre industrie de consommation. Le secret c’est d’arriver à créer de nouveaux besoins.

Financer une petite structure

Les petites entreprises se servent aujourd’hui d’internet pour trouver des financeurs, notamment les sites de crowdfunding. Si vous avez 1000 € en poche, vous avez déjà de quoi accompagner une start-up, dont l’idée et les principes vous ont convaincu, dans son développement.
Là aussi, vous prenez un grand risque. Vous devez tout de même vous assurer que le site est fiable, et que même si votre argent ne vous est pas rendu, il va atterrir précisément là où il était destiné. Mais si les choses tournent bien, le rendement peut être très attractif, de l’ordre de 5 % à 8 %.
Les start-ups touchent aujourd’hui encore de nombreux domaines, à savoir la santé, la technologie ou encore l’alimentation. À vous de décider du projet qui vous parait à la fois novateur et porteur, dans lequel vous pensez pouvoir placer votre confiance.

Investir dans les monnaies cryptées

La monnaie cryptée qu’on appelle Bitcoin a vu le jour en 2009. Elle s’achète avec de l’argent réel. En ayant investi 1000 euros à ce moment-là, vous en aurez déjà obtenu beaucoup aujourd’hui, largement plus que le double. Avec les petits travaux en ligne, vous pouvez également vous faire payer de cette façon.
Les premiers qui ont cru à cette nouveauté ont été les gagnants des gros lots, car ils ont pu multiplier rapidement leur capital de départ sans avoir à faire un travail. Les cours de ces monnaies virtuelles oscillent également, tout comme dans la réalité, ce qui pourrait augmenter ou au contraire diminuer leur valeur.
Aujourd’hui, il y a aussi l’Ethereum. Il se trouve à la seconde place des cryptomonnaies. Alors que l’idée a germé dans la tête du Russo-Canadien Vitalik Buterin à seulement 19 ans, cette nouvelle monnaie a été propulsée à sa notoriété actuelle vers le mois de mars 2017. Son principal avantage reste sa capacité à assurer des contrats intelligents en Turing-Complet. Plusieurs applications sont déjà basées sur l’Ethereum, tournant sur des EVM (Ethereum Virtual Machine) sur un même réseau.
Il s’agit plus précisément d’une banque décentralisée où tout est désormais automatique. La spéculation sur les cryptomonnaies a fait des heureux. Depuis le temps, ils ont pu s’acheter des voitures, des appartements, ou ont pu garder leurs millions alors qu’au début, par précaution, la plupart n’ont investi que très peu. La montée reste prometteuse quoique le risque reste présent. Vos 1000 € peuvent encore se multiplier si la chance est de votre côté.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : où placer 1000 euro

Comment investir 20 000 euros ou 30 000 euros ?

juillet 16, 2018 par swealth Laisser un commentaire

investir-20000-30000-eurosComment investir 20 000 euros ou 30 000 euros de manière optimale ?
En effet, aujourd’hui s’offre à vous un large éventail d’investissements prometteurs, les uns plus risqués que d’autres, plus rentables que d’autres.
Il est fort compréhensible que ce ne soit pas facile de choisir dans quel investissement livrer son argent.
Cet article est pour vous guider pas à pas dans le choix du placement ou de l’investissement selon votre profil et vos attentes.
Si vous avez en main cette somme de 20 000 euros ou 30 000 euros suite à des efforts d’économie, elle est encore plus précieuse pour disparaître à nouveau.
Pourtant, le 0 n’existe pas, amortir les risques c’est tout ce qu’il y a à faire.
Déjà avec cet argent, vous avez accès à la diversification, c’est-à-dire que vous pourrez diviser votre fonds en 2 ou 3 et l’investir dans des supports différents.

Les placements bancaires

Les livrets d’épargne

D’abord, il y a les livrets d’épargne comme le livret A, le LEP, le PEL, le LDD, etc. Dans la même visée, il y a le compte à terme. Ces placements sont parmi les plus sûrs, mais aussi les moins rentables si l’on en juge par le taux du livret A qui ne cesse de descendre, alors qu’avant, il était intéressant pour quelqu’un de très peu disponible et qui n’a pas hâte de récupérer son argent et ses intérêts. Le taux de ce dernier n’atteint plus aujourd’hui les 1%, puisque l’État l’a fixé à 0,75%. Il a été mentionné peu disponible parce que la plupart des investissements nécessitent qu’on investisse également un peu de son temps. Mais l’argent, lui, reste disponible à tout moment pour vous, afin que vous y ajoutiez du fonds ou en retiriez.
Aussi, les intérêts sont plus attractifs sur le long terme, c’est pourquoi ce placement convient mieux à ceux qui le réservent à un projet pour plus tard comme la retraite. Il faut compter des années avant que les résultats ne soient vraiment profitables. Aucune durée de placement n’est exigée, c’est à vous de voir. 8 ans est la durée minimum conseillée.

Une assurance vie multi support

Souscrire à une assurance vie serait plus attractif, en optant alors pour le type euro dynamique. Le taux est à la hausse depuis quelque temps malgré une descente globale affichée d’année en année. L’autre type, fonds en unité de compte, comprend davantage de risques qu’on ne vous le conseille pas.
Vous pouvez notamment faire un contrat et acheter une part dans l’immobilier ou une part d’actions avec cette assurance-vie multi support, et profiter alors du dynamisme du marché financier, tout en risquant moins que ceux qui y investissent directement. L’intérêt vient dans le premier cas du patrimoine qui vous revient une fois le contrat terminé, et également au rendement que vous percevrez régulièrement si le projet marche bien. Il faut compter au moins 2,3% de rendement, mais il ne faut pas oublier que les contrats ont leurs risques.
Une assurance-vie est un investissement à plusieurs avantages : pas de minimum requis, l’argent revient à la famille en cas de décès, taux prenant, fiscalité avantageuse. 20 000 euros ou 30 000 euros convient parfaitement.

Les OPCVM (Offre de Placement Collectif de Valeurs Mobilières)

Les OPCVM, avec ses deux déclinaisons SICAV et FCP (Fonds Communs de Placement), constituent aussi deux options pour les personnes qui ne veulent pas s’éloigner de la sécurité du système bancaire. Les participations peuvent consister en partie d’actions et d’un autre côté un placement immobilier si vous le souhaitez. Dans ce cas, il a été décidé qu’il vous restera toujours à disposition 10% de liquidités. Le financement participatif reste un investissement peu risqué, mais procurant divers avantages, en commençants par les intérêts. D’ailleurs, si les projets financés se portent bien, il est possible de gagner beaucoup plus.

L’immobilier

Ce secteur est décrit comme le plus stable entre toutes même si quelques fois, elle fait également face à des crises. Mais c’est toujours plus ou moins prévisible, ce qui vous donne le temps d’atténuer les pertes. Cette stabilité est un grand avantage, mais il ne faut se fier qu’à cela. Il savoir choisir dans quelle branche de l’immobilier :
–          Financement participatif, à l’exemple du SCPI (Société Civile de Placement Immobilier)
–          Investissement dans l’ancien
–          Programme neuf
–          Achat de parkings, box ou garages
Les différents locaux ont également chacun leur rentabilité, en fonction de leur situation géographique et de nombreux autres paramètres : commerces, appartements, résidence pour touriste ou étudiants, etc. Tout dépend de l’adaptabilité de leur usage dans le lieu où ils sont implantés. Un local commercial ne va pas attirer les clients s’il se trouve dans un lieu peu fréquenté, tout comme un appartement doit se trouver plus au calme et idéalement près de commodités. Pour les parkings, la sécurité et la visibilité sont primordiales.
Il faut faire particulièrement attention sur le calcul du coût des rénovations pour un achat dans l’ancien, car l’écart pourrait agir négativement sur le rendement. Pour ce qui est du neuf, si vous achetez en VEFA (Vente en État de Futur Achèvement), le risque serait que le prometteur fasse faillite à cause de retards de travaux ou de dépenses mal calculées. C’est pourquoi il serait plus prudent de se tourner vers un promoteur fiable, qui a déjà fait ses preuves.
Les SCPI sont aussi à risque pour des raisons similaires : un coût de construction déraisonné, une longue période de vacance de locataires ou un problème de paiement des loyers par ces derniers. La première approche serait également de bien choisir la société. Néanmoins, si le projet réussit, le rendement peut atteindre les 7% à 10%. Vous percevez régulièrement des dividendes sans avoir à gérer la location ou quoi que ce soit, cette tâche étant léguée à une société de gestion. Sinon, faites des recherches sur le fonctionnement du crowfunding immobilier si vous voulez faire davantage de fructification avec moins de risques.
Un autre grand atout du secteur, c’est l’ouverture d’un grand nombre de banques au crédit immobilier. De nombreux dossiers ont été accordés, dont beaucoup y demandent un crédit immobilier pour profiter de l’effet de levier immobilier. Dans un marché qui bat son plein, ce système est parfaitement adapté pour un enrichissement rapide. Mais le revers est de la même envergure, c’est-à-dire les risques de perte en cas de dysfonctionnement du projet. Il est primordial de bien évaluer les risques avant d’embarquer. Autrement, cela signifie que vous êtes prêt à acheter votre billet d’entrée à l’endettement.

La bourse

La bourse, il faut le savoir, est un marché rentable, mais avec des risques tout aussi considérables. En moyenne, si vous êtes actif, vous pouvez espérer dépasser les 8% de rendement annuel, car ce n’est que la moyenne. Devenir un trader de compte propre exige de vous la possession d’un certain montant que vous êtes prêt à risquer. Avec quelques centaines ou milliers d’euros, vous aurez du mal à obtenir les rentabilités escomptées. Avec 20 000 euros ou 30 000 euros, vous commencez à avoir accès à plusieurs titres en même temps. C’est idéal la diversification pour espérer davantage de fructification. Vous pouvez réserver 5 000 € en moyenne pour chaque. Ainsi, si l’un des titres perd et qu’un autre gagne, vous aurez encore la chance de vous faire des gains avec une différence positive. C’est comme ça que les risques sont amortis.
Commencez par vous ouvrir un PEA (Plan d’Épargne en Actions) ou un compte titre ordinaire. Puis, achetez des actions prometteuses et ensuite, laissez le temps faire le reste. Pour rendre plus en profondeur, ouvrez un compte titre réel. Vous pouvez notamment choisir un courtier Forex ou CFD.
Néanmoins, si vous n’êtes pas connaisseur dans le domaine au moment où vous désirez investir cet argent, il faudra commencer par s’entrainer aussi longtemps que nécessaire, jusqu’à un an, dans le milieu de la bourse virtuelle. Pendant ce temps, vous pourrez continuer à épargner pour booster encore votre capital. Après quoi, vous devez continuer l’entrainement cette fois avec de l’argent réel, mais avec un fond limité. Utilisez seulement 2 000 € à 3 000 € pour du day-trading afin d’avoir un avant-goût. Durant cette période, vous pouvez continuer à vous renseigner davantage et à encaisser astuce sur astuce. Par la suite, vous augmenterez petit à petit vos lots. Ainsi, vous aurez plus de chances de devenir un trader pro.
Réinvestissez ce que vous y aurez gagné afin de profiter des magnifiques avantages des intérêts composés. La bourse est aussi un excellent endroit pour exploiter l’effet de levier. 5 niveaux vous sont disponibles, pour vous offrir jusqu’à soit 5 fois plus de gains, soit 5 fois de pertes à cause des risques. Pour toujours amortir les risques, n‘investissez pas tout en une seule fois, garder toujours des liquidités pour renforcer certaines lignes si leur situation devient plus avantageuse. Attention également aux frais de courtage qu’il ne faut pas minimiser, et aux parts qui reviennent à l’État.

Créer son entreprise

Avec 20 000 euros ou 30 000 euros, vous ferez très bien de construire personnellement quelque chose qui vous permettra de vous faire des revenus supplémentaires réguliers. Pour cela, créez votre société. Le mieux serait toujours d’exploiter une passion pour pouvoir s’assurer la persévérance et la production d’idées. Autrement, vous pouvez partir à l’affut d’un marché de niche en créant votre propre produit ou service particulier, destiné à une poignée limitée de gens. Il faut voir davantage la rentabilité et pas toujours le volume. Il y a également internet, où vous pourrez créer votre boutique en ligne et vendre vos produits. Il peut y être tout aussi intéressant de devenir revendeur de grandes marques. Le chemin est long et épineux, mais il n’y a rien d’impossible à ceux qui osent prendre le risque.

Partir faire carrière à l’étranger

Si vous pensez que dans votre pays, les perspectives de carrière et les conditions de travail sont moins intéressantes par rapport à d’autres, vous pouvez très bien investir les 20 000 euros ou 30 000 euros dans votre expatriation. Les avantages peuvent être nombreux, comme de profiter d’un climat plus clément tout en s’épanouissant davantage dans son travail. Les parents auront également la possibilité de rejoindre un environnement que vous jugez plus propice à la vie de famille. En choisissant bien votre destination, les opportunités d’un revenu élevé pourraient s’offrir à vous. Cette tendance a fait des bonds dernièrement. On s’en rend vite compte en voyant des milliers de personnes en prendre chaque année la décision.
Vous avez maintenant eu un aperçu des meilleures options d’investissement de votre belle somme de 20 000 euros ou 30 000 euros. Quelle que soit votre décision, il y a une part de risque. Alors, faites le choix de n’embarquer que dans quelque chose que vous pensez pouvoir mieux maitriser et qui vous a particulièrement convaincu.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : investir 20 000 euros, investir 30 000 euros

Combien investir en bourse ? Quel montant…

juin 25, 2018 par swealth Laisser un commentaire

investir en bourseLa bourse est un secteur d’investissement aussi alléchant que risqué.
Si vous ne savez pas correctement vous prendre, il peut avaler d’un trait tout ce que vous y avez investi.
Autrement, il peut vous rendre riche rapidement.
Beaucoup de gens sont attirés par ces belles perspectives et se disent près, chacun venant avec un montant différent.
Mais quel montant est réellement idéal pour débuter sur ce marché ? Combien investir en bourse ? Cet article élude la question pour vous.

Éviter les contraintes d’un minimum trop strict

Ce dont il faut se mettre d’accord dès le début, c’est que dans tous les cas d’investissement bourse, vous devez vous servir de l’argent que vous êtes prêt à risquer et que vous ne soyez pas tenu de réclamer de sitôt. Ce montant doit également vous permettre de vous placer dans de meilleures conditions, car tous les produits ont leurs prix et certains sont moins risqués que d’autres. Avec une somme trop basse, vous n’aurez pas droit aux plus intéressants. Surtout, vous ne serez pas en mesure de diversifier votre portefeuille. Or, c’est la principale clé d’une réussite dans ce domaine, puisqu’elle vous permet de diviser les risques. Vous pourrez ainsi amortir vos pertes par les gains perçus dans d’autres titres.
Il faudrait aussi que vous soyez conscient des frais de courtage qui devront à chaque fois être déduits de votre fonds. Ces derniers tournent autour de 0,2% par transaction. Ce qui fait qu’en investissant une toute petite somme, ce frais signifiera beaucoup, mais passera plus ou moins inaperçu dans l’autre cas. À cause toujours du montant restreint que vous aurez investi, vous devrez faire face à des contraintes par rapport à ces frais. Le cas se présente lorsque vous achetez des actions que vous revendrez aussitôt que vous avez fait une progression. Or, si vos gains n’ont pas été considérables, ils seront soumis au minimum des frais de courtage et vos gains risquent alors d’être annulés. Ce qui signifie en d’autres termes qu’avec peu de liquidités, vous devez dépasser une certaine progression pour espérer gagner quelque chose.
La leçon à tirer de tout cela, c’est qu’il faut attendre de faire des économies plus convenables avant de se lancer sur ce marché. Donc, combien investir en bourse ? Il est conseillé de n’y songer que si vous avez amassé 1 000 € ou plus. C’est le montant que nous vous suggérons.

Les produits à effet de levier

Les produits à effet de levier, notamment les Contrats pour la Différence et les SRD, sont des produits affriolants de la bourse dans lesquels vous pourrez investir la première fois, à condition de bien connaitre le marché. Il faut surtout faire attention à l’effet de levier, car les risques de gains et de pertes sont parfaitement égaux. Les débutants ont généralement de petits portefeuilles, et ce sont aussi eux les plus appâtés par l’effet de levier. Or, la bourse est comme un casino, où la situation peut changer à tout moment. Alors, si par exemple vous profitez de l’effet de levier jusqu’au maximum permis c’est à dire le niveau 5. La moindre variation, négative ou positive, sera multipliée 5 fois sur votre portefeuille, soit à votre perte, soit à votre avantage. Mais plus on aura de capital, plus on a tendance à freiner notre sollicitation de l’effet de levier financier.

Le forex

Le Forex est un bon endroit pour débuter en bourse. Ce marché s’est développé sur le trading des devises étrangères, principales, secondaires ou exotiques. Vous pourrez d’ailleurs commencer avec une toute petite somme, car certaines plateformes vous ouvrent leurs portes dès 100 €. Les bénéfices seront toutefois relatifs au capital investi, ne vous attendez donc pas à vous enrichir dans peu de temps.

Les produits dérivés

Pour appréhender une bonne position en bourse, commencez par des produits dérivés. Ces derniers sont moins risqués. Il y a notamment les OPCVM (Organisme de Placement de Valeurs Mobilières) que vous pourrez investir en actions. Vous avez deux choix sur cette option, une SICAV ou un FCP. Certes, les intérêts sont moins alléchants, mais vous permettront d’avoir un avant-goût de ce qui vous attend dans les entrailles du trading. En plus, votre seul placement sera plus sécurisé investi sur plusieurs valeurs en même temps.
Autrement, il est conseillé de s’accorder un long moment d’exercice avec un portefeuille virtuel. Vous apprendrez à manipuler les actions sans perdre aucun centime, car il ne s’agit pas d’argent réel. Si vous avez constaté de bons résultats une fois ce délai passé, vous pouvez maintenant organiser sérieusement votre premier pas.

Le goût du risque

La bourse, c’est un investissement basé sur le risque. Plus on mise, mieux on augmente nos chances de gagner plus. Mais la diversification est toujours de mise lorsqu’on veut investir en bourse avec succès. C’est pourquoi il faudra vraiment atteindre cette possibilité pour commencer à tirer réellement profit de son investissement en bourse. Vous devez pour cela penser au minimum de valeurs qui vous permettra de diversifier votre portefeuille. Si vous estimez que 3 suffisent, réservez au moins 1 000 € pour chacun et lancez-vous. Il serait toutefois risqué de choisir n’importe lesquelles.
C’est là que doit intervenir votre connaissance du marché en général, des sociétés qui vous intéressent, des rouages et des tactiques qu’il faut avoir pour mieux avancer. Les courtiers, des commissionnaires, sont à votre disposition pour vous conseiller, mais cela ne vous ôte pas la responsabilité sur vos décisions. C’est pourquoi vous devez être quelqu’un d’averti, avec l’obligation de se mettre à jour aussi fréquemment que possible de la situation du marché boursier.
Après, la diversification peut s’étendre sur les produits et les pays. Dans ce cas, vous aurez besoin d’au moins 5 000 € pour la rendre possible. Ainsi, vous serez assuré de commencer avec moins de risques. Il est également permis aujourd’hui de copier ses opérations sur celles d’un trader renommé, mais ce qui ne garantit pas toujours un gain. Il faut faire constamment attention de ne pas tout suivre aveuglément, car vos portefeuilles sont différents, si bien que chacun doit être mieux placé concernant ce qu’il peut se permettre ou non avec son argent. Maintenant, vous pouvez un tout petit peu compter sur la chance du débutant.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : combien investir, investir en bourse

Commencer en bourse avec une petite somme (100 à 200 euros)

juin 4, 2018 par swealth 1 commentaire

commencer en bourseEst-ce possible de commencer en bourse avec 100 euros ou 200 euros ?
En effet, les jeunes et les moins jeunes sont aujourd’hui intéressés par les investissements en bourse.
Qu’ils soient étudiants, salariés ou retraités, ils peuvent en effet faire fructifier automatiquement leurs revenus. Ce qui leur permettra d’avoir à la fois un budget pour le quotidien et un extra pour leurs projets.
La Bourse se trouve parmi les domaines d’investissement qui conviennent à tous les âges et à tous les budgets.
Évidemment, que vous possédiez 100€ ou 30 000€, il y a toujours une place pour votre argent en Bourse.
Dès le début, il faut que vous sachiez que ce secteur est à risque. Néanmoins, si vous êtes assez adroit, vous pourrez voir votre fond grimper petit à petit. Et si vous réinvestissez tout, vous dépasserez dans pas longtemps ce cap des petits investissements et pourrez alors explorer les importants marchés boursiers, convenant à des sommes plus élevées. Si vous investissez avec une petite somme, entre 100 à 200€ par exemple, vous ne serez pas riche du jour au lendemain, mais en tout cas, si les gains se répètent, vous pourriez constater dans pas longtemps la nette différence entre la somme de départ et les revenus accumulés à ce moment-là.
Pour ceux qui s’y intéressent de près, et qui sont même prêts à foncer, découvrez dans cet article les astuces pour commencer en bourse avec une somme minime, et quels sont les désavantages.

Le Forex

En bourse, il existe plusieurs bases sur lesquelles vous pourrez choisir d’investir selon vos fonds disponibles. D’abord, il y a les types de marchés qui nécessitent d’importants capitaux, avoisinant les 10 000 € minimums. Les trois principaux socles d’investissement de cette catégorie étant :
–       Les actions, qui sont d’ailleurs les plus populaires
–       le marché des indices boursiers (NASDAQ, CAC40…) ,
–       le marché des commodités (comme le pétrole ou l’or…)
Toutefois, comme vous pouviez vous douter, il existe un marché accessible aux particuliers. Il s’agit du marché du Forex, ou encore « Foreign exchange » en anglais. Celui-ci concerne le troc de devises, comme pour le change de dollars contre des euros. Ce marché est le plus pratique pour débuter en bourse avec cette somme de 100 à 200 €. Quoi qu’il en soit, il est toujours nécessaire de faire des recherches pour se mettre au courant des rouages du système complexe qu’est la bourse avant de se lancer.
En plus de permettre aux particuliers d’investir des sommes infimes, le Forex est également accessible en permanence en ligne. Il convient donc à toutes les disponibilités. Effectivement, vous pouvez y accéder 24/24, depuis n’importe où. Et comme dans les autres marchés, vous pouvez également multiplier votre fonds disponible grâce à « l’effet de levier ».
Les commissionnaires virtuels vous suggèreront alors de créer un compte de manifestation, afin que vous puissiez vous exercer gratuitement et sans engagement sur ce marché. Vous n’avez qu’à vous inscrire sur la plateforme de votre choix et commencer de suite à utiliser le « trading software » pour les changes selon les montants de votre choix. Cette solution est idéale pour le débutant,  car elle est facile et rapide à instaurer.

L’OPCVM

Avec ce montant, vous pouvez également ouvrir un PEA (Plan d’Épargne en Action). Le but est de faire un investissement mensuel automatique sur un OPCVM d’actions sur la Zone Euro. Vous aurez ainsi le choix sur différents pays et secteurs d’activités. Vous pourrez également bénéficier d’une réduction, voir suppression des frais de courtage et des droits de garde si vous optez entièrement pour des OPCVM proposées par votre banquier. Tout dépend de la qualité de ce qu’il vous propose, car vous n’allez tout de même pas accepter l’ensemble sans faire d’abord votre propre analyse. L’intérêt de ce type d’investissement est en outre la diminution des risques qui, dans le cas de chutes, sont palliés par ces apports mensuels. Les OPCVM peuvent ensuite être échangés contre des titres qui, eux, ne sont pas diversifiés.

Les warrants

Il est également possible d’investir dans des warrants, mais dut au risque élevé de ces produits dérivés, on ne saurait les conseiller aux débutants. Vous pouvez tout de même avoir moins peur des pertes si vous travaillez à temps plein. Dans ce cas, les warrants sur le CAC sont de réelles opportunités. Limitez-vous à ça avant de s’attaquer à la multitude, réservez-les à plus tard lorsque vous aurez acquis de l’expérience. Une des stratégies dans ce type d’investissement boursier est de choisir des warrants à date d’exercice éloigné.
Cela fait partie des ruses de la bourse de montrer de belles performances entre des échéances rapprochées alors qu’après, tout peut basculer en un tour de main. Au moins, il devrait y avoir 4 mois d’espacement. Les plus malins revendent dès une certaine marge de gain atteinte pour éviter les pertes.

Ne jamais débuter avec l’achat d’un titre

Si avec cet argent, vous arrivez à acheter un titre, vous risquez de tirer le mauvais numéro. En réalité, vous aurez autant de chance de tout perdre, de garder votre mise à la clôture ou de gagner un peu.  La bourse marche mieux avec une diversification des titres, alors que ce sera presque impossible avec ce fonds. Le but est que les gains sur les uns couvrent les pertes sur les autres et ainsi de suite. Parallèlement à ceux qui ont été cités plus haut, les CFD (Contract For Difference) font partie de vos options, mais comme tous les autres, il ne faut pas y mettre les pieds les yeux bandés.
Débuter en bourse avec 100 à 200 € est donc risqué, puisque, plus le fonds est faible, plus le risque de tout perdre est considérable. La plus petite fluctuation du marché va être violente pour votre investissement, risquant de vous faire perdre tout ce que vous avez accumulé. Sachez qu’un homme averti en vaut deux. Renseignez-vous toutefois sur les stratégies qui vous permettront de diluer ce risque si vous êtes vraiment prêt à vous faire des revenus supplémentaires grâce à la bourse.

Les inconvénients d’un début avec une somme minime

D’abord, il faut n’investir en bourse que l’argent dont on ne va pas avoir besoin, qu’on ne risque pas de regretter amèrement en connaissance de cause. Ensuite, mise à part la quasi-impossibilité de diversifier les actions, les gains sont aussi minimes. En plus, de votre fond seront retirés divers frais, et de votre gain des impôts. L’idéal serait de bien apprendre le système, même si pour cela il vous faut un an ou même plus, et d’augmenter un peu plus la mise de départ avant de l’investir.

D’abord, se documenter

Il faut surtout se mettre constamment à jour relativement aux situations des entreprises sur le marché. Renseignez-vous notamment sur la vie économique des sociétés cotées en bourse, sur le journal financier et l’actualité en général. Suivez bien les évolutions de ces sociétés et leurs actions pendant un certain temps avant de décider de vous plonger pour de bon en étant à ce moment-là capable de faire des choix avertis. Prenez votre temps pour tout comprendre, surtout à maitriser la signification des termes techniques utilisés dans le domaine.

Commencer par ouvrir un portefeuille virtuel

Les risques de la bourse sont la raison pour laquelle il est toujours recommandé de commencer par ouvrir un portefeuille virtuel, vous permettant de vous initier. Vous allez vous exercer sans miser de l’argent réel. Si vous gagniez quelque chose et arriviez à entretenir votre fond pendant un certain temps, c’est là que vous pouvez commencer à vous demander si le monde de la bourse est fait pour vous ou non. Autrement, ce n’est pas la peine, autant travailler dur dans son travail et espérer une promotion, ou trouver un boulot plus rentable, ou encore devenir autoentrepreneur en trouvant un business qui peut être démarré avec 100 à 200 euros.

Catégorie(s) : Bourse, Investissement Étiqueté : commencer en bourse, débuter en bourse

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Qui suis-je ?

Sylvain Wealth Argentwebmarketing

Mon nom est Sylvain, et j'ai 35 ans. Je suis entrepreneur et investisseur depuis déjà une dizaine d'années. J'ai démarré ma conquête vers la liberté financière dès mon tout jeune âge. Ça remonte à l'époque où j'étais encore sur les bancs d'école et que j'occupais de petits boulots mal payés.

Suite à un surendettement et une perte d'emploi, je me suis promis de ne plus jamais revivre un situation aussi frustrante et stressante. C'est aussi à partir de ce moment que j'ai commencé à étudier le monde des finances à travers des livres, des formations et même des études universitaires.

Depuis lors, les choses ont commencé à changer positivement pour moi. Avant l'âge de 30 ans, j'ai atteint la liberté financière. Aujourd'hui, je n'ai aucune dette. Mieux, j'ai réussi à me bâtir un patrimoine financier. J'entreprends et j'investis dans des domaines variés.

Au travers de ce site, je partage des stratégies pour aider mes lecteurs à devenir plus libre financièrement. J'offre également des formations plus approfondies sur le sujet pour vous permettre d'atteindre l'indépendance financièrement. Vous pouvez découvrir tous mes programmes avancés en cliquant ici !

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